des nouvelles du front

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Parce que les centres commerciaux ont été construits pour les garder à l’extérieur et tout à coup, ils ont osé dépasser la frontière et sont entrés. 

Jeune approché par la police au centre commercial Itaquera . / FOLHAPRESS

Quels sont les “rolezinhos”?

Publié par Miguel Rosario sur 13/01/2014 –traduction automatique

Les nouveaux «voyous» du Brésil

Par Eliane Brum dans El Pais (via Journal du Centre mondial )

Noël 2013 restera comme celui dans lequel le Brésil a traité des garçons pauvres, pour la plupart noirs, comme des bandits, pour avoir osé s’amuser dans les centres commerciaux où pour la classe moyenne c’est la saison des achats des Fêtes. Grâce à des réseaux sociaux, des centaines, parfois des milliers de jeunes, réunis dans  ce qu’ils appellent «rolezinho” dans les achats à proximité de leurs communautés pour «se faire plaisir, prendre quelques baisers, faites défiler un flirt» ou «perturber, choix au total, avoir du plaisir, aucun vols. “

Le samedi 14, entré par dizaines dans le centre commercial Internacional Guarulhos, chantant des refrains de funk avec ostentation. Ne pas voler, ne pas détruite, pas porté médicaments, mais même ainsi, 23 d’entre eux ont été emmenés au poste de police, sans rien pour justifier la détention.

Dimanche 22, Shopping Interlagos, les garçons ont été fouillés à l’arrivée par une présence forte de la police : selon les rapports de presse, une base mobile et quatre voitures de police pour le magasin, quatre autres unités de la police militaire, l’un des (Groupe des opérations spéciales) GOE avec cinq voitures et la sécurité privée pour monter la garde. Plusieurs jeunes hommes ont été «invités» à quitter le bâtiment…..

Encore une fois, aucun vol n’a été enregistré. Le samedi 21, la police, appelée par l’administration des achats Campo, n’a pas trouvé d’ «émeute», mais les véhicules et motos tactique de la Force Rocam (Ronda ostensive avec le soutien de la moto) est restée dans le stationnement inhibition rolezinho et policiers sont entrés au centre commercial avec des armes de balles en caoutchouc et des gaz lacrymogènes.

S’il n’y a pas de crime, pourquoi les jeunes noirs pauvres de la périphérie de l’agglomération de São Paulo sont ils criminalisés?

Parce que les centres commerciaux ont été construits pour les garder à l’extérieur et tout à coup, ils ont osé dépasser la frontière et son entrés.

Et revendiquant quelque chose pour les jeunes délinquants noirs et pauvres, dans l’imaginaire national: s’amuser à l’extérieur des limites du ghetto. Et des objets de consommation souhaitée. Pas de réfrigérateur et d’une télévision à écran plat, symboles appelés population «nouvelle classe moyenne» qui s’élève à l’augmentation des revenus dans le gouvernement Lula Classe C ou, mais les marques de luxe, de grandes marques internationales, ceux qui ont l’intention de prendre une élite, généralement blanche.

Plus tôt, le 7 Décembre, environ 6000 jeunes avaient occupé le parking commercial  Itaquera, et ont également été réprimées. Plusieurs rolezinhos ont été prévus par les réseaux sociaux dans les différents centres commerciaux de la région métropolitaine de São Paulo jusqu’à la fin de Janvier, mais par crainte de la répression, beaucoup ont été annulés. Ses organisateurs, les jeunes travaillant dans des services tels que garçon de bureau et aide générale, craignent de perdre leur emploi quand ils sont arrêtés par la police pour être là où ils ne sont pas censés être – une loi non écrite, mais toujours réalisés au Brésil.

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