Grèce : le ministre de l’intérieur de 2008 comme président de la république
No comment
Grèce : le gouvernement Syriza propose un ex-ministre de droite à la Présidence de la République
7 décembre 2008, Athènes, Grèce – Un officier de police pointe son arme en direction des manifestants alors qu’un autre simule l’action de tirer lors du 3e jour d’émeutes après la mort du jeune Grigoropoulos. © AFP
Athènes – L’ex-ministre conservateur Prokopis Pavlopoulos sera le candidat du nouveau gouvernement de gauche radicale à la présidence de la République grecque, a annoncé mardi le Premier ministre Alexis Tsipras.
L’élection du président par les 300 députés du Parlement grec est prévue mercredi à 17h30 GMT.
Nous avons besoin d’un président qui ait une sensibilité démocratique, un sentiment élevé de conscience nationale et qui soit accepté par le plus grand nombre au Parlement, a commenté M. Tsipras lors d’un discours devant son groupe parlementaire, Syriza.
La réputation de M. Pavlopoulos au sein de la droite a été doublement entachée fin 2008, lorsqu’il était ministre de l’Intérieur, par des émeutes dans toute la Grèce qui ont duré plus d’un mois, après la mort d’un lycéen de 15 ans tué par un policier à Athènes. Mais ses soutiens louent sa finesse diplomatique.
Un pavé dans la marre ?
Yanis Varoufakis : Comment je suis devenu un marxiste erratique
Cet article est adapté d’une conférence donnée à l’origine au 6e Festival subversives à Zagreb en 2013
http://www.informationclearinghouse.info/article41037.htm
http://www.usinenouvelle.com/article/la-greve-des-raffineries-touche-20-des-capacites-nationales-de-production-de-petrole-des-etats-unis.N315191
@Anonyme
Monsieur anonyme, pourrait-on connaitre le rapport avec le peut-être futur président grec ?
R.S
Selon le Canard Enchaîné (Mercredi 4 Mars 2015)
Yanis Varoufakis à propos des obsèques de Maggie Thatcher (2O13) :
“Le monde était meilleur quand il permettait à de formidables personnes comme Margaret Thatcher d’arriver au pouvoir.”
TINA
Sur son blog cela donne ceci :”Despite all these contradictions, the world was a better place when it allowed formidable personalities, like that of Mrs Thatcher, to rise to the top. It is highly questionable whether someone of Mrs Thatcher’s strong convictions and bravado could rise again to a position of genuine power. And this is, surely, a sad reflection on the world after Thatcher.”