Approche générale de la restructuration du rapport entre le prolétariat et le capital (Roland Simon)
Trouvé sur le blog In Limine
Voici un extrait de l’ouvrage de Roland Simon « Théorie du communisme, Volume I, Fondements critiques d’une théorie de la révolution » paru en 2001 au éditions Senonevero, (de la page 32 à 35) qui a trait au rapport restructuré entre le capital et le travail depuis la fin des années 70. Il introduit une explication de la dynamique qui produit depuis une trentaine d’années une redéfinition de l’emploi salarié, qui, il est important de le noter car c’est là que se situe l’enjeu du « moment actuel », peut survenir dans les luttes à partir des situations de chômage, précarité, flexibilité, etc. et de ce qu’il en découle de révoltes (à partir du moment où ces révoltes arrivent à dépasser les limites qui obscurcissent la vision de leur relations directes avec la dynamique de contradictions de classes et de genres).
Cet extrait sera suivi d’un autre, la suite dans l’ouvrage en fait, approfondissant ce sujet du point de vue de la destruction de l’identité ouvrière. Il se veut aussi sur ce site, la suite de l’article : « La flexibilité ou la limite trouvée à l’affirmation de l’identité du prolétariat »
Bonne lecture
Les derniers commentaires