Le mouvement social «contre la vie chère» frappe la Guadeloupe depuis le 19 janvier et la Martinique depuis le 5 février…
Comment la grève a-t-elle débuté en Guadeloupe ?
Le 19 janvier, les gérants des 115 stations-services de l’île diffusent un mot d’ordre de fermeture illimitée de leurs établissements. Le lendemain, un «Comité contre l’exploitation outrancière» (LKP) appelle à la grève générale. Les blocages affectent les secteurs de l’éducation, des transports, du bâtiment, de la santé, du tourisme, de l’hôtellerie, de l’électricité ou de l’eau, qu’ils soient privés ou publics. Les internautes de 20minutes.fr sont les premiers à relayer l’information, avant l’ensemble des médias. Lire la suite…
auvaise nouvelle pour les pays en développement. Après des années de croissance, les sommes d’argent, souvent vitales, envoyées par les quelque 200 millions de travailleurs migrants à leurs familles s’amenuisent. Les banques de développement observent avec inquiétude les chiffres qui leur parviennent au compte-gouttes : moins 10 % au Mexique en décembre 2008 ; moins 8 % au Guatemala au quatrième trimestre… 




e ministre de l’immigration, Eric Besson, a signé, jeudi 5 février, une circulaire incitant les clandestins à dénoncer leurs passeurs en échange d’un titre de séjour provisoire. Pour le sociologue Smaïn Laacher, du Centre d’étude des mouvements sociaux (CNRS-EHESS), il est irréaliste de demander à un clandestin de se retourner contre les réseaux qui l’ont fait migrer et le tiennent encore parfois dans son pays d’accueil. Spécialiste des questions d’immigration, Smaïn Laacher est l’auteur du Peuple des clandestins et de Femmes invisibles. Leurs mots contre la violence. 



lackwater a essayé par tous les moyens de contourner notre décision, mais nous avons dit : Non ! » Interrogé jeudi 29 janvier sur l’avenir de la société de sécurité américaine en Irak, le général Khalaf, porte-parole du ministère de l’intérieur, a été on ne peut plus clair : « Le contrat est terminé. » 
out le monde le connaît, mais qui l’a lu ? », interroge le bandeau du livre. Apparemment, l’argument porte. Le Capital, de Karl Marx, qui vient de paraître en manga de poche – au prix d’une tasse de café -, a été tiré à 50 000 exemplaires depuis sa mise en vente, le 15 décembre, précise Kosuke Maruo qui dirige chez l’éditeur East Press la collection « Tout lire en bande dessinée » spécialisée dans la reprise de grandes oeuvres (Dante, Machiavel, Dostoïevski, Kafka…) comme de textes au lourd passé tel que Mein Kampf d’Hitler. 



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