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“La communisation comme abolition du racialisme”

  1. 16/01/2014 à 16:16 | #1

    Merci. Ce sont les 12 premières pages sur 24

    Texte complet, mis en page avec retraits et liens fonctionnels

    http://patlotch.com/text/488b2cdb(Patlotch2013)-511.html

    LA RÉVOLUTION SERA a-RACIALE OU NE SERA PAS !

  2. salle des machines
    16/01/2014 à 16:36 | #2

    @Patlotch

    l’oubli est réparé, la totalité du texte ce trouve maintenant aussi sur dndf

    la salle des machines

  3. adé
    16/01/2014 à 21:13 | #3

    Patlotch : “L’important est de considérer que la période d’agitation en Grèce et dans les pays arabes – événements analysés par TC comme relevant d’une « sous-période » dans la crise du capitalisme en restructuration permanente – s’est accompagnée d’une turbulence dans le milieu théorique, et que la page est tournée de ce double point de vue”.

    Capitalisme en restructuration permanente et “restructuration capitaliste”, ou “restructuration du rapport capital / prolétariat”, est-ce vraiment la même chose?

    Patlotch :”Restructuration sans fin, blog des séditions asymétriques http://restructuration-sans-fin.eklablog.com/ au demeurant très pertinent quant à la critique de l’économie politique : « le plus inquiétant dans le cours de la crise, c’est qu’il n’y est pour l’instant eu aucun moment de dépassement significatif sur lequel s’appuyer, on peut bien évidemment attendre un coup de tonnerre dans le gris sur gris, mais le plus saisissant c’est bien l’absence de combativité en Europe et aux Etats-unis. Alors plutôt que de tirer des plans sur la comète prolétarienne, on s’enferre un peu dans l’analyse « du cours des choses » ». Effectivement la France s’ennuie, mais que le capitalisme se méfie donc plutôt de l’eau qui dort. Il n’y a cependant pas à attendre de « dépassement » avant l’heure, ni sans doute que se déclenchent en France ou aux États-Unis les événements les plus décisifs. On n’est plus en 1968.

    Je suis d’accord avec l’absence de combativité en Europe, aux USA et au Japon, je ne sais pas si le capitalisme doit se méfier des eaux dormantes, ou non, mais le fait est cette absence de combativité hic et nunc. Curieuse à mon avis la phrase : Il n’y a cependant pas à attendre de “dépassement” avant l’heure…
    Si l’on attend c’est justement qu’il n’est pas l’heure (ou leurre?), on attend car il n’est pas l’heure de l’heure.
    Bien sûr, “la conjoncture”, autrement dit :”C’est l’occasion qui fait le larron”, mais qui fait l’occasion?
    On n’est pas en 1968. Pas de Grenelle, pas d’augmentation des salaires, pas de défilé sur les Champs-Elysées, puis les vacances.

  4. 17/01/2014 à 13:39 | #4

    @adé “Capitalisme en restructuration permanente et « restructuration capitaliste », ou « restructuration du rapport capital / prolétariat », est-ce vraiment la même chose ?”

    Ces formules renvoient au texte cité Fin de Parti(e) et autres de TC, dans le cadre d’un bref ‘flashback’. Sur ce blog où discuter, pour des raisons techniques et autres, est déjà difficile, commencer par une question annexe et relativement hors sujet du texte “communisation / race” ne m’intéresse pas.

    DÉPASSEMENT et “COMBATIVITÉ” : quand, dans le contexte de la communisation – c’est le cas de Restructuration sans fin -, on utilise certains mots, je les entends au sens qu’ils prennent dans la théorie. “Dépassement” à une longue histoire dans la dialectique selon Marx et son utilisation par les marxismes. La traduction du ou des mots de Marx en allemand alterne entre dépassement et abolition. Dans le contexte communisation, il renvoie à Roland Simon dépassement produit et donc au moment conjoncturel révolutionnaire. En d’autres termes le dépassement de limites, franchir le pas, etc. Voilà le sens de ma phrase « pas à attendre de « dépassement » avant l’heure ».

    Le travail de TC ou d’autres ne consiste pas à S’APPUYER sur des dépassements qui sont hors d’atteinte par les luttes, et donc hors d’attente. À cette aulne, effectivement, pas de COMBATIVITÉ, notion toute relative et subjective (subjectiviste), qui relève au demeurant davantage du journalisme syndical et des appréciations sur la psychologie des troupes observées par l’état-major, d’en haut, à la longue-vue : qu’est-ce qu’ils attendent, ces prolos français, qui ne répondent pas à ce que les théoriciens attendent d’eux, derrière la vitre de leurs blogs.

    ATTENDRE : je mets en cause, à travers ces quelques mots des amis de “Restructuration sans fin”, une pratique théorique héritée d’une certaine façon de faire de la théorie embarquée : tous préviseurs dans l’angle mort ? Le sens que TC donne à ces notions dérive en tout autre chose : une mauvaise digestion des concepts, sur la base de formulation par TC – qui sont mal comprises, parfois parce qu’elles s’y prêtent – aboutit à attendre, n’observer que ce sont on pense que cela correspond à la théorie, avec des lunettes déformantes (asymétriques ?) qui trient les “luttes théoriciennes” selon la théorie vulgaire qui s’est répandue depuis que TC est sorti de son isolement théoricien (avec Meeting, Sic…).

    ANGLEs MORTs : COMBIEN ? il y a d’une part l’angle mort, au sens de BL/TC, d’autre part – remarque que j’ai faite dès 2005 – la tendance évoquée plus haut à ne voir que ce que l’on cherche, sur la base de ce qu’on a ‘bien trouvé’, même si ‘senonevero’. TC semblait avoir quelques difficultés, depuis l’exemple argentin qui a fondé ses avancées théoriques, à s’appuyer sur des luttes théoriciennes de femmes.

    Depuis qu’il est question de femmes racisé-e-s, je constate que, comme Picasso, on ne cherche pas, on trouve. Ces luttes seraient-elles si nouvelles, ou bien étaient-elles invisibles, dans un angle mort que n’avait pas défini la théorie ?

    Bref, ne pas confonde ANGLES MORTS et POINTS AVEUGLES

  5. 19/01/2014 à 16:21 | #5

    Juste une petite remarque en passant, la fameuse phrase sur l absence de combativite et le non depassement n est pas tire du blog mais d un mail et n etait que l echo des discussions entre nous… On y reviendra peut etre
    oi

  6. 20/01/2014 à 16:26 | #6

    S’il est vrai qu’entre nous la précision sémantique n’est pas de rigueur, mon appréciation reste la même. Quant au fait d’avoir reçu par mail cet échange comme ayant un certain intérêt et comme étant public, il faut croire que les cloisons des sphères privées ne sont pas étanches.

    Vu le silence de plomb dans le landerneau et alentour, comme en écho à la censure ailleurs, je ne suis pas pressé de revenir sur cette anecdote. Elle renvoie à l’incapacité de TC à assurer le service après-vente de ses concepts. S’ils sont mal compris et utilisés à tort et à travers, la faute à qui ? Après tout TC est un groupe et d’autres en sont capables aussi bien que moi, qui suis seul.

    Pour le reste, le texte de ce topic – ‘la communisation comme abolition du racialisme’ – est régulièrement mis à jour sur mon site. http://patlotch.com/text/488b2cdb(Patlotch2013)-511.html

    Sur la base de cette première élaboration, j’ai tiré les conséquences logiques en termes de critique de TC Théorie Communiste, mais pas seulement, puisque cela précise de façon importante la question de fond (race et capital) :

    – TC ‘Théorie Communiste’ : fin de partie truquée 17 janvier http://patlotch.com/text/488b2cdb(Patlotch2013)-513.html

    – hic salta ou franchir le pas en pratique théorique : TC (contre Marx ?) une théorie blanche occcidentale 20 janvier (en cours) http://patlotch.com/text/488b2cdb(Patlotch2013)-516.html

    Par ailleurs, plus important que les considérations “internes” au milieu franco-français :

    – Femmes dans les luttes de classes, Domestic Workers, Migrants… http://patlotch.com/text/488b2cdb(Patlotch2013)-499.html

    et accessoirement :

    – la ‘race’, de Marx aux ‘communistes’ et ‘marxistes’ http://patlotch.com/text/488b2cdb(Patlotch2013)-515.html

    Maintenant, tout le monde connaît le chemin. Je ne suis pas satisfait de la présentation des textes ici, qui perd des aspects importants pour la compréhension. Pas un reproche aux soutiers, c’est comme ça.

    Désolé, je ne travaille pas à l’ancienne avec papier/crayon, pour bétonner des textes qui sortent un an ou deux plus tard, présenté comme gage de sérieux et base d’échanges réservés on ne sait où dans les coulisses.

    Je ne me suis pas arrêté de penser le 17 à 0:07, et je n’ai pas d’équipe à réunir pour l’approbation. Mes positions évoluent vite par périodes, ça va ça vient, comme une insurrection.

    Pas mon genre de faire de l’entrisme là où je porte mes critiques. Longue vie donc à dndf et bonne combativité à toussétoutes dans le merdier qui s’annonce à dépasser

    http://patlotch.com/text/index.html

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