Le vent de la révolte continue de souffler. Malgré les morts, malgré la répression ce qui se passe au Maroc est un fait historique. La peur est désormais dans le camp du Makhzen qui tremble. Les manifs ont repris de plus belle les 26 et 27 février dans presque toutes les villes du Maroc, Meknes, El Hoceima, Agadir, Marrakech, Kelaa Srghna, Larache, Khénifra, Safi, Tetouan, Taourirte, Chaouen etc. sous le même mot d’ordre : lutte pour la liberté, la démocratie et la justice sociale et contre la corruption, l’escroquerie et l’abus du pouvoir.
L’individu dans sa singularité la plus immédiate n’est pas un donné subsistant par lui-même enserré ensuite dans des formations sociales de plus en plus générales, aucun « je » n’existe d’abord pour lui-même avant d’être en rapport. Il n’est une singularité qu’en étant toujours en rapport avec d’autres singularités et en existant comme singularité dans ces rapports, dans une totalité de rapports (« tout rapport à soi n’existe que comme rapport aux autres »)
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http://www.liberation.fr/monde/01012320322-quatorze-blesses-en-libye-dans-des-manifestations
Le vent de la révolte continue de souffler. Malgré les morts, malgré la répression ce qui se passe au Maroc est un fait historique. La peur est désormais dans le camp du Makhzen qui tremble. Les manifs ont repris de plus belle les 26 et 27 février dans presque toutes les villes du Maroc, Meknes, El Hoceima, Agadir, Marrakech, Kelaa Srghna, Larache, Khénifra, Safi, Tetouan, Taourirte, Chaouen etc. sous le même mot d’ordre : lutte pour la liberté, la démocratie et la justice sociale et contre la corruption, l’escroquerie et l’abus du pouvoir.