“Le vert est la couleur du dollar”
La brochure papier du blog Carbure, “le vert est la couleur du dollar” est sortie aujourd’hui…. On la trouve dans les bons endroits de diffusion… dndf
Le PDF de la brochure ICI
Categories: Du coté de la théorie/Around theory
Sera-t-il possible de partager un version .pdf pour nous qui sommes loin d’Europe?
Voilà qui est fait, en fin d’article
Liste des points de diffusion à Lille :
L’Affranchie librairie, 6 Place Sébastopol, 59000.
Librairie Meura, 25 Rue de Valmy, 59000.
Librairie Le Bateau Livre, 54 Rue Léon Gambetta, 59000.
Café L’ecart, Lille, 26 Rue Jeanne d’Arc, 59000.
Café Les Sarrazins, 52, 54 Rue des Sarrazins, 59000.
disponible à Paris, dans les lieux suivants :
Quilombo, 23 rue Voltaire, 75011
Publico, 145 rue Amelot, 75011
Le comptoir des mots, 229 rue des Pyrénées, 75020
… ainsi que dans certaines des meilleures laveries automatiques de l’est parisien.
D’autres lieux suivront prochainement.
La brochure est disponible à la librairie L’insoumise de Montréal, boulevard St Laurent
Points de diffusion de la brochure “Le Vert est la couleur du $$$” à Toulouse :
Kiosk La Chapelle, 36 rue Danielle Casanova.
Librairie Terra Nova, 18 rue Gambetta.
L’Itinéraire-Bis, 22 rue Périole.
Piquemil Local, 6 Rue Piquemil.
CRAS, 39 rue Gamelin.
Local Camarade / Bibliothèque Bandura, 54 Boulevard Déodat de Sévérac.
Autant, avec “le genre”, ou même “la race”, le milieu communisateur allait de l’avant, interrogeant ses propres fondements, autant avec “Le vert est la couleur du dollar”, comprendre la lutte écologiste est celle de la classe capitaliste, elle assimile le problème des rapports humanité-nature à ses fausses solutions. La diffusion, sans commentaire critique ni réticence, et par tous, de ce texte d’un seul, est la dernière balle dans le pied de la théorie de la communisation. Un sacré coup de vieux.
“La diffusion, sans commentaire critique ni réticence, et par tous, de ce texte d’un seul….”
Toute critique un peu sérieuse sera bienvenue et relayée ici….A vos claviers….
@Anonyme
Au contraire, on voit que quand il s’agit de rappeler les bases, la bande de Carbure n’arrive plus à caser la sainte trinité classe/rare/genre de rigueur aujourd’hui et à laquelle elle souscrit pourtant. Peut-être parce que c’est la merde en fait ?
@Greta
De mémoire car je n’ai pas relu le texte récemment, pas question de race ou de genre dans celui-ci. Carbure a pu flotter sur ces questions, je n’ai pas toujours saisi la cohérence de sa ligne générale, exemple la “jonction” avec les racisé.e.s qui se serait faite via le Comité Adama et les Cheminots, à Saint-Lazare… Il me semble qu’ici la chute privilégie une révolution strictement prolétarienne :
” La « conscience écologique » prendra alors moins de place dans cette action que le fait de subir directement les conséquences des dégâts laissés derrière lui par le capital. Quoi qu’il en soit, nous ne pouvons pas décider pour ces individus, au nom d’une commune humanité qui nous rendrait à l’avance maîtres de cette action menée par d’autres. Les raisons n’en sont pas d’abord morales, même si le principe « on ne peut pas décider pour les autres » pourrait bien faire partie d’une morale communiste – encore que pour cela le prolétariat doive auparavant décider pour tout le monde l’abolition des classes, sans quoi « ne pas décider pour les autres » n’est qu’un principe libéral visant à laisser faire les lois du marché. »”
Il se passe avec l’écologie, les luttes écologiques, ou écologistes selon, ce qui s’est passé avec les luttes des femmes et le féminisme à l’époque du programmatisme, tel que l’a par après autocritiqué TC : on verra ça plus tard. Ce qui fait défaut est de les prendre comme faisant partie du mouvement du capital aujourd’hui, ou même si l’on veut de la lutte des classes, “qui n’est pas pure” comme on se plaît à le répéter, mais sans dire tout ce qui fait son inquiétante impureté : les luttes des prolétaires pour sauver leur usine de mort (ses produits comme tel ET son exploitation), les luttes paysannes ou locales pour interdire une mine, sauver une région forestière et les populations en même temps, prolétaires compris, lutte pour la survie donc, contre le capital. Contradictions, on le voit, allant “dans les deux sens”, pour autant qu’il y en ait un à l’histoire répondant à la stricte lutte de classes.
La “conscience écologique” est là, c’est peu de le dire. Entendre la fin de l’interview de Camatte*, à propos de Greta Thunberg, où il dément son interviewer sur le fait qu’elle ne serait que “mystification”. Un peu de dialectique ne ferait pas de mal parfois… Reproche-t-on aux luttes prolétariennes de n’être que défensives, de viser l’aménagement du capital (retraites) ? Ce qu’on accepte d’eux considérant qu’ils renverseront la vapeur ne vaut-il pas pour les luttes écologistes, dans la perspective (Camatte) de trouver la voix de la Gemeinwesen comme réconciliation des rapports humanité-nature, but fondamental du communisme selon lui, et qu’il croit lire dans le premier Marx ?
* https://www.youtube.com/watch?time_continue=7184&v=EKCoo7KoIew&feature=emb_logo
@Anonyme
Personne ne t’interdit d’aller faire des sittings avec Extinction Rebellion ou même d’aller défendre la souveraineté traditionnelle de je ne sais quel tribu dans le fin fond de l’Amazonie si ça t’amuse.
Merci quand même d’avoir ressorti la chute de la brochure qui est bof. Alambiquée pour rien avec du “nous” et du “eux” qui désignent on ne sait trop qui (enfin si : la piétaille qui ne comprend rien et le théoricien) et dont la dernière phrase n’est littéralement pas finie à force de propositions entre virgules et tiret.
@Anonyme
C’est tout, cher homo-Anonyme ? Réponse inepte et hors sujet. Moi je m’en tape, mais c’est Pepe et dndf qui attendent (et méritent) mieux, quelque part la crédibilité du “milieu radical” est en balance : ça ne cause plus nulle part. Jasper Bernes vous balance la casquette* qui résume l’ambiguïté de ces accointances alors qu’elles recouvrent des incompatibilité foncières.
* https://twitter.com/JPrefereNepas/status/1233450733229559809/photo/1
Depuis 50 ans presque on entretient ça, sous le label “camarade”, qui ne produit que de l’enfermement entre VOUS, qui n’est plus que votre seule façon d’exister, care les vrais sujets, les vrais problèmes, vous les bottez en touche parce qu’il sous emmerdent, et vous utilisez pour ça tous les moyens. Comment pouvez-vous encore passer pour sérieux aux yeux des plus sérieux d’entre VOUS ?
@Anonyme
Pardon c’était Greta “l’homo-Anonyme”.
Mais de quel crédibilité tu parles ? Celle de l’avant-garde ? Ce texte de Carbure est juste pas trop mal comparé aux bêtises qu’ils ont écrites ces derniers temps et que visiblement tu préfères.
Mais c”est qui “vous”? Avant de déballer tes conneries soit déjà sûr que tu t’adresses à qui tu crois. Je suis de la bande de personne, je ne fais que lire des textes par-ci par-là. La “communisation” j’aime bien, parfois pas tout le temps.
Cela dit, si je comprends bien, toi tu es Patlotch qui commente en “Anonyme” après avoir dit que tu ne commenterais plus ici ?
comme toujours, il y le doigt et la lune. Je ne relançais ce sujet de l’an dernier que m’étonnant de l’absence de réactions dans le milieu”, auquel je suis extérieur. et pas davantage sur le compte twitter de son auteur @carbureblog. J’étais simplement curieux de savoir si cette impression pouvait être infirmée par quelque voix ici
la petite nouvelle, inconnue chez dndf, Greta la bien nommée, nous informe que le milieu recrute des enfants, auxquels carbure@blog juge bon ne pas répondre : « on ne contredit pas un enfant, on l’écoute en souriant. » Ce n’est pas de mon goût, mais je fait là une exception
retour donc à la seule question qui vaille, restée sans réponse, posée par Pepe : « Toute critique un peu sérieuse sera bienvenue et relayée ici… A vos claviers… ». Plus largement, la question mal nommée “écologique”, des rapports humanité-capital-nature, fait-elle l’objet de discussions dans le “milieu de la théorie radicale”, en dehors de la marge qui s’y montre sensible et productrice d’Agitations, ici : https://agitationautonome.com/category/ecologie-2/