Récréation
Dans notre rubrique “dndf, le Télérama de la communisation”, pour celles et ceux qui ne l’ont pas encore vu, le making of d’ATHENA.
Dans notre rubrique “dndf, le Télérama de la communisation”, pour celles et ceux qui ne l’ont pas encore vu, le making of d’ATHENA.
La chaine ARTE présente, les 1° et 2 mars 2022, une série de reportages et d’entretiens sur les mémoires diverses de la guerre d’Algérie, « En guerre(s) pour l’Algérie ».
Comme dans tout reportage, le montage a sélectionné tel ou tel moment des témoignages des participant(e)s, au grè de la pertinence jugée par les réalisateurs.trices. L’INA propose sur son site l’intégralité de ces témoignages.
Il se trouve que parmi ces témoins se trouve un de nos camarades dont le parcours complètement atypique et exceptionnel peut intéresser beaucoup de monde autour de nous….
Stive, pied noir de Tunisie, puis engagé volontaire, parachutiste, embarqué dans la guerre d’Algérie, devient mercenaire sur divers théâtre de guerres sales dans le monde. Au début des années 70, devenu salarié, il change de vie et milite à l’extrême gauche. En 90 il rompt avec le gauchisme et rejoint les gauches communistes, avec un regard critique acéré sur ses engagements passés.
Il est aujourd’hui un compagnon de route de la revue « Théorie Communiste » et de dndf. Son témoignage est passionnant, tant sur un plan historique que personnel. Vous le trouverez ici en intégralité.
https://entretiens.ina.fr/guerres-algerie/Stive-Modica/stive-modica
Une employée aurait fait exploser un entrepôt de pétrole parce qu’elle était «en colère contre le patron»
Dans une brève note ironique, les travailleurs lucaniens de la FCA de Melfi “remercient chaleureusement le président Bardi pour avoir interdit le karaoké pendant cette urgence, afin d’éviter tout rassemblement”.
Sur une photo, envoyée à notre rédaction, vous pouvez voir clairement un bus complet sans distanciation physique. L’image fait référence à un bus qui a emmené des travailleurs de Potenza à la zone industrielle de San Nicola di Melfi hier soir, 22 octobre.
«Sachant que notre président est si attentif à la santé de ses concitoyens – écrivent les travailleurs – nous fait aller travailler soulagés, même en bus pleins ».
En attendant les publications à venir….
Et toute la terre qui gronde
Bonne saison pour les volcans
On va faire sauter le monde
Cramponnez-vous, tout fout le camp!
Sur la voie rapide d’Arles…
Référence à la révolution française?
Appel à un Référendum d’Initiative Citoyenne sur le rétablissement de la peine de mort?
Après « CLASSE / RACE : FAUX DILEMME, VRAI PROBLÈME », une nouvelle vidéo de Guillaume Deloison
Analyser les événements au moyen orient avec des éléments d’ordre macro-économique et géopolitique n’est pas suffisant: la question du « croissant chiite », celle des hydrocarbures transitant par la Syrie, les bases militaires russes et les diverses rivalités internationales jouent alors le rôle de deus ex machina du ce drame. Qu’en 2011, des milliers de personnes soient descendues dans les rues chaque vendredi pour manifester sous les balles du régime, et qu’en Palestine ou se batte avec des pierres ne s’explique plus dès lors que par le fanatisme des manifestants, guidé par l’action d’ organisations secrètes: tout le reste n’est plus qu’économie, diplomatie, rapports commerciaux entre États. Quand on n’a pas affaire carrément à une rhétorique complotiste on a bien souvent affaire à une analyse de type marxiste vulgaire, qui revient à dévoiler une série de déterminations qui prennent leur source dans ce qu’il est convenu d’appeler « l’économie ». Ce n’est pas un hasard si toutes ces analyses reviennent le plus souvent à soutenir le régime el-Assad, c’est-à-dire le statu quo : « l’économie » est une pensée de l’ordre.
Ce qu’il nous faut tenter de saisir, c’est en quoi les conflits aux moyen orient s’inscrivent dans le moment présent de la crise mondiale du capital, comprise non seulement comme crise économique mais aussi comme crise sociale, dans les conditions particulières de ces société. Il nous faudra saisir les déterminations de cette crise, sans ramener à un seul facteur – que ce soit la religion ou le pétrole – l’explosion sociale généralisée qu’est toute guerre civile. Tentons de saisir en quoi ce moment est aussi le nôtre.
https://blogs.mediapart.fr/jean-marc-b/blog/270518/11-juin-68-guerre-de-classe-sochaux
« Les syndicats organisent un autre vote le samedi 8 juin: 5 279 votants soit seulement 20 % participation, et majorité en faveur de 49 voix pour la reprise. Les syndicats mettent fin à l’occupation. Le lundi 10 juin de la reprise des rumeurs circulent dans les ateliers: les cadences vont augmenter et la direction veut imposer 17 samedis travaillés.
A 10h, de jeunes ouvriers débraient à l’atelier de finition carrosserie et traversent l’usine en appelant à la grève. A midi, plus de 1 000 ouvriers bloquent les entrées de l’usine. La CGT et la CFDT se rallient au mouvement…« à condition que tout se passe dans le calme et la dignité »... A 15 heures, 10 000 ouvriers votent l’occupation de l’usine.
Pompidou donne l’ordre d’évacuation. Des CRS se présentent devant l’usine à 3h du matin. D’autres sautent les murs de derrière et évacuent les ouvriers avec la violence gratuite de lâches et brutes. Les ouvriers construisent des barricades et bombardent de briques ces mêmes cafards tapis dans l’usine. A 7 heures, les milliers d’ouvriers qui arrivent pour l’embauche refusent d’entrer dans les usines pleines de cafards. Les syndicats tentent de les détourner avec une marche vers la sous- préfecture. Mais les ouvriers rejoignent leurs camarades dans la bataille. Submergés par le nombre, les CRS tirent. 15 ouvriers s’écroulent, un est dans le coma, Pierre Beylot est tué de trois balles par un gradé.
Un des bâtiments des usines est réoccupé. Les cafards en déroute abandonnent un car. Il est incendié. Les délégués syndicaux en récupèrent les fusils qu’il font briser. Des manifestants parcourent Sochaux : « Tous aux barricades ». Ouvriers et étudiants affluent de la région. Les CRS sont assiégés dans les bâtiments. Un deuxième ouvrier est tué: Henri Blanchet, atteint par une grenade, tombe du haut d’un pont. »
Une découverte…..
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C’est pas si fréquent quand même, surtout au regard des références “théoriques” et historiques!!
leur site :http://www.rapandrevenge.com/
On peut se prétendre le maitre étalon de l’insolence post soixante-huitarde et rejoindre la horde franchouillarde et sexiste de la beaufosphère qui se déchaine depuis quelques temps….
Décidément, le concept d’insoumission a du plomb dans l’aile, depuis quelques temps….
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Coïncidence pas si fortuite, au moment ou tout le monde ou presque se prépare à choisir pour la x° fois son homme ou sa femme providentielle, ARTE diffuse ce soir ce qui semble se présenter comme le film le plus complet sur l’histoire de l’anarchisme à ce jour.
Présentation ici par l’auteur, Tancrède RAMONET (un vrai nom d’anarchiste, ça!!): Interview
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