À la limite: Auto-organisation en Grèce

07/03/2013 2 commentaires

À la limite: AUTO-ORGANISATION EN GRÈCE

Par Anna O’Lory, 27 Février 2013

http://www.metamute.org/editorial/articles/limit-self-organisation-greece 

Anna O’Lory est membre de Blaumachen, http://www.blaumachen.gr , qui produit un journal du même nom et qui contribue à la revue SIC – Journal International pour la  Communisation – http://sic.communisation.net/en/start

 « Et je lui répond / Daisy le moment est / extrêmement lourd de conséquences / nous travaillions et nous nous débrouillions / avec des nouveaux billets de banque / et alors nous réalisions que / c’est nous qui fabriquons / les nouveaux billets de banque / alors nous les mangeons / alors nous les chions / et alors nous disons que / nous avons des tonnes de fric… », graffiti, Exarchia, Athènes, Paroles tirés de « Lego » de Lena Platonos, années 80

 

image: «L’économie est blessé, j’espère qu’il meurt», Graffiti, Athènes, c.2012

En Grèce, une résurgence d’auto-organisation dans des conditions de crise se dessine sur un répertoire d’alternatives existantes. Anna O’Lory – membre du groupe et journal Blaumachen  – décrit les caractéristiques centrales de ces initiatives et expose leurs limites intégrantes.

Le récent film d’Anja Kirschner et de David Panos, Substance ultime, influencé par l’oeuvre d’Alfred Sohn-Rethel, fait le lien entre l’argent en tant qu’équivalent universel et les différentes formes de pensées et d’organisation sociales : la quantification de l’activité par le biais d’un équivalent abstrait correspond à l’abstraction dans la pensée et la quantification scientifique. Pour nous, la conséquence importante de cela est que non seulement l’exploitation, mais l’imposition de la comptabilité sur la vie sociale est elle-même dénaturée. L’argent n’est pas critiqué parce qu’il ne correspond pas à la valeur d’une manière assez précise. Il est critiqué précisément pour être ce qu’il est : un équivalent universel qui médiatise les échanges et, en même temps, une forme de valeur. Lire la suite…

Des nouvelles d’Egypte

05/03/2013 4 commentaires

En provenance du site Global Uprising, en anglais seulement!

“Chers Amis et Partisans :
Nous venons d’achever  un nouveau documentaire sur la situation au Caire.
Deux ans après que la révolution en Égypte a commencé, l’agitation continue à travers le pays à mesure que la situation politique et économique empire. Face au gouvernement actuel qui consolide son pouvoir, les revendications de la révolution semblent s’éloigner plus  que jamais.  La révolution a cependant ouvert de nouveaux espaces pour l’action politique, stimulant le débat public sur des questions qui sont en partie non reconnues et non résolues depuis trop longtemps.
Ce court documentaire couvre les motivations des révolutionnaires pour continuer à prendre les rues, les obstacles auxquels ils font face et la tactique qu’ils utilisent. Il éclaire les problèmes économiques et les politiques actuelles que les Égyptiens affrontent, la croissance du mouvement syndical indépendant, les tactiques des Black Blocks et les réponses aux violence contre les femmes.”

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“La distinction de classe est indissociable de la distinction de genre”

03/03/2013 Aucun commentaire

La revue produite par Incendo « GENRES & CLASSES, l’insurrection généralisée qui détruira les hommes et les femmes » a été reçue avec un succès qui montre à quel point le débat est actuellement central, dans et hors du milieu dans lequel elle a été produite.

La réponse critique de la revue “Théorie Communiste”  a reçu elle aussi un accueil public qui enrichit le débat.
Pour la seule fréquentation de dndf, les chiffres parlent :
– 1070 visites sur l’article qui présente la revue d’Incendo
– 915 visites sur la critique par TC.

Un camarade (extérieur à la revue TC)  a pris l’initiative de produire une brochure papier de cette critique de Théorie Communiste. Elle circule actuellement, distribuée gratuitement.
Si vous êtes intéressés à la faire circuler autour de vous, vous pouvez nous en commander…

“Qu’est-ce que c’est…..l’argent?”‘

03/03/2013 un commentaire

Le collectif “tantqu’il” vient de produitre un quatre pages intitulé “Qu’est ce que c’est …l’argent?”.

En attendant la parution sur leur site, voici un PDF qui le présente.

Tanquil1                                                   Tanquil2

Egypte : mouvement de désobéissance civile

25/02/2013 3 commentaires

La désobéissance civile est lancée dans les villes du Delta du Nil de Mansoura et de Mahalla

Les dirigeants de l’opposition publient des tracts et des déclarations sur Facebook pour défendre leurs méthodes, disant que désobéissance civile est un moyen légitime d’exprimer des exigences ; des villes industrielles rejoigne le mouvement dimanche par des blocages des routes

Ahram Online, dimanche 24 février 2013

Les manifestants entament le mouvement de désobéissance civile dans la ville du delta du Nil de Mansoura, ce dimanche, en bloquant les entrées principales de la ville et le bâtiment central du gouvernorat.

Cela fait suite aux affrontements de la nuit dernière, de samedi à dimanche, dans le gouvernorat de Daqahliya, entre les manifestants et la police après que des manifestants aient bloqué les routes principales de la ville et aient construit un mur de briques pour arrêter la circulation dans et hors de Mansoura. Lire la suite…

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Présentation de TC 24 à Marseille

23/02/2013 Aucun commentaire

Le groupe “Tantquil” fera une présentation de leur collectif et le groupe Théorie Communiste présentera le N° 24 de sa revue qui vient de sortir.

Samedi 2 Mars à 17h30

à La Caserne, en face de la caserne du muy, au 1 rue massena

Un repas sera partagé à la suite de la discussion

Ceux qui veulent participer au repas doivent se signaler à : pepe@communisation.net

Bon appétit!

18/02/2013 2 commentaires
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Conseils de l’OCDE : conditionner chacun/e aux variations de plus en plus rapides des modalités « flottantes » de l’exploitation.

18/02/2013 un commentaire

« L’OCDE a salué vendredi ( 15 février) une nette accélération des réformes structurelles, qu’elle prône de longue date, notamment dans les pays les plus fragiles de la zone euro, mais a appelé à “aller plus loin” pour favoriser l’emploi. »

« aller plus loin », c’est la suppression des allocs chômage, abolir l’extension légale des conventions collectives, flexibiliser les salaires et de les lier aux conditions économiques du moment en Espagne et pour l’Italie rendre plus souples embauche et licenciement, augmentations des impôts indirects, augmenter les frais de scolarité.

les phrases en gras sont de notre fait

 

Espagne : L’OCDE demande de ne payer d’allocations qu’aux personnes qui recherchent un emploi et conseille également d’ajuster les salaires selon les variations économiques et les entreprises.

15.02.2013 | 14:15

EP/Moscú

L’OCDE recommande à l’Espagne d’exercer une surveillance plus serrée des bénéficiaires d’une allocation de chômage dans leur recherche d’un poste de travail et de lier leur paiement aux résultats.

Selon ce que relève l’organisation présidée dans son édition 2013 dans son rapport annuel “Pari pour la Croissance” par Ángel Gurría,.il est nécessaire que l’Espagne améliore les politiques actives du marché du travail, car la faible efficacité des services publics de l’emploi…

 A cette fin, il est recommandé  d’introduire “de de larges évaluations et des processus de contrôle des services de l’emploi et les programmes de l’emploi au niveau régional“, ainsi que d’éliminer les incitations à l’embauche et d’élargir les mesures de formations pour les demandeurs d’emploi.

 Dans cette ligne, est proposé que les salaires soient plus sensibles aux conditions économiques générales comme à celle de  l’entreprise. Pour cela elle propose d’abolir l’extension légale des conventions collectives, qui dans son opinion, constitue une limite de la capacité de réponse des salaires aux conditions économiques. Lire la suite…

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Les outils de « négociation » sont désormais la matraque et le flashbal

16/02/2013 6 commentaires

extrait emprunté à un article du blog “in limine”

Voir le Fichier : Face_a_la_police.pdf

http://riff-raff.se/texts/fr/sic1-le-moment-actuel >

La revendication salariale, qui est donc une revendication dont actuellement la forme épouse le contour de la contrainte à la précarisation du travail (maintien des emplois qui est le maintien de la condition pour le prolétariat de sa propre survie : maintien du rapport salarial), devient une limite à l’action de la classe, matérialisée par le front de la police face à elle, dans la mesure où cette précarisation est l’expression cruelle mais structurellement indispensable de l’inessentialisation du travail dans le cycle productif et du lien négatif que ce dernier a avec le capital financier (nécessité de productivité croissante et en même temps, évanescence, non de la valeur, mais du caractère primordial, pour la création de richesse capitaliste – l’argent -, de la production). La précarité, le chômage, la crainte des licenciements, sont des limites à l’action du prolétariat ouvrier au travers de ses réactions revendicatives parce qu’ils sont les conditions, dans ce moment du cycle d’auto-accumulation, du maintien du lien du capital au procès de production et, simultanément, la négation de ce lien (qui se figure sous les traits médiatiques de la finance en tant qu’autonomisation, illusoire, du capital).

 

« L’autonomisation du capital, c’est-à-dire plus précisément l’autonomisation de sa forme capital-porteur d’intérêts est une tendance réelle, mais impossible. Lorsque l’on aborde cette impossibilité, il est insuffisant de l’énoncer en ressortant simplement le livre I du Capital ; en effet la tendance à l’autonomisation et son impossibilité ne sont pas opposées comme une digue est opposée à la marée. C’est dans ce qui définit fondamentalement le rapport du capital comme exploitation du travail que réside à la fois la tendance et son impossibilité. Ce qui constitue la complexité de ce procès d’autonomisation du capital, c’est qu’il est nécessairement lié au procès de production, et le reste. L’autonomisation du capital nie le procès de production, mais elle a absolument besoin de demeurer dans ce rapport de négation, en même temps que le procès de production a absolument besoin de produire cette négation »

….par la précarité, et son corollaire, la disciplinarisation du travail ; la police étant là en tant qu’outil étatique de coercition au service du capital afin de faire appliquer cette nouvelle discipline comportant une nouvelle forme de soumission, l’acceptation de la précarité et de l’insécurité de l’emploi liée à la restructuration mondialisée du capital et au caractère inessentiel du travail dans ce moment d’autonomisation du capital. La police nous rappelle désormais que nous ne sommes plus rien face au capital qui s’autonomise, le « monde de la finance », mis en danger du rapport salarial, tout en nous réintroduisant dans le rapport d’exploitation, dans le rapport de domination de classes, au travers de cet inessentialisation de ce qui constitue nos êtres prolétarien(ne)s ; le capital a toujours besoin de nous, mais plus soumis qu’auparavant, toujours indispensable mais aussi toujours de trop, en n’ayant plus la possibilité d’affirmer aucune identité face à lui nous donnant comme avant le moyen de négocier une place honorable dans le « système ». Les outils de « négociation » sont désormais la matraque et le flashbal

1 Roland Simon, Théorie du communisme, Fondements critiques d’une théorie de la révolution, éd. Senonevero, 2001, p. 318

On a reçu ça : “Taupe, y es tu ?”

11/02/2013 8 commentaires

“nous publions avec l’accord de son auteur cet excellent texte, écrit pour une réunion qui s’est récemment tenue à Paris. Nous tenons à attirer l’attention sur un texte qui prouve qu’on peut écrire de façon claire et très abordable sans céder un pouce à la vulgarisation théorique…” dndf

 

TAUPE, Y ES TU ?

Le capital restructuré,
la lutte des classes et la perspective révolutionnaire

Les « révolutionnaires » et ceux qui cherchent à donner une formulation politique à leur révolte veulent généralement être les témoins du futur, et inscrire leur discours et leur activité dans le sens général d’antagonismes porteurs d’insurrections à venir. C’est somme toute normal : toute lecture du monde part forcément d’une position en son sein, et vouloir conformer le devenir de l’humanité à ses désirs est le point de départ de toute volonté révolutionnaire. Le texte qui suit cherche à faire un pas de côté. Il tente d’évoquer l’époque actuelle en questionnant l’articulation entre la critique du capital comme rapport social d’une part et la lecture de la lutte des classes de l’autre – mais sans chercher à tracer d’échéance révolutionnaire (ni forcément entrer dans de grandes polémiques théoriciennes). Il s’agit essentiellement de réaffirmer cette évidence : ce qui se dégagera de la guerre sociale présente et à venir ne sera jamais que le produit de l’interaction (et du choc éventuel) entre le mouvement général de la domination capitaliste et l’activité de ceux qui en son sein seront amenés à se bouger les fesses. De cette dynamique, personne n’a la clé – pas plus les capitalistes que leurs auto-proclamés ennemis. Lire la suite…

De l’anarchisme à la communisation

10/02/2013 Aucun commentaire

Article traduit du blog de nos camarades italiens « Il Lato cattivo « 

Ce texte -écrit au cours de l’été 2010 a circulé les mois suivants à quelques exemplaires- témoigne d’une rupture d’avec le courant insurrectionnaliste « anarchiste ». Loin d’être exempte de défauts, cette lettre vise à poser des questions fondamentales à un milieu de militants, sans prétendre être en mesure de les formuler avec clarté. Entre autres,  les prévisions  sur le cours du capitalisme et sur le destin du démocratisme radical se sont révélées erronées,  comme l’approfondissement de la crise et la diffusion globale du mouvement des « indignés » peuvent l’attester. D’autres points -l’importance donnée à la rupture des années 70, la critique de l’activité militante, etc. – restent à clarifier. Quoiqu’il en soit, cette lettre abordait, de la part de son auteur, un début de compréhension  du processus révolutionnaire comme communisation : en ce sens, elle a eu son utilité. (Janvier 2010)  Lire la suite…

France : un avertissement aux ouvriers en colère

08/02/2013 3 commentaires

Manuel Valls lance un avertissement aux ouvriers en colère

Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, qui s’est inquiété mardi des risques “d’implosion sociale” en France en raison de la crise économique, a lancé jeudi un avertissement aux ouvriers en colère, estimant qu’il n’y a “pas de place pour la violence”.

L’annonce par Goodyear Dunlop France de son intention de fermer son usine de pneumatiques d’Amiens-Nord (Somme), les licenciements prévus à PSA et la confusion quant à l’avenir de la raffinerie Petroplus de Petit-Couronne (Seine-Maritime) ont ravivé des tensions en France, théâtre d’annonces à répétition de plans sociaux depuis plusieurs mois.

“Il y a de la désespérance chez les ouvriers, chez les ouvrières, il y a de la colère. (…) J’en appelle évidemment à la retenue, au dialogue social, à la recherche de solutions”, a dit jeudi le ministre de l’Intérieur sur Europe 1.

“Il n’y a pas de place pour la violence, et je lance évidemment un avertissement, la police, elle fait son travail, mais on ne peut pas admettre qu’on cherche à casser l’outil de travail, à briser des mobiliers urbains, qu’on s’attaque à des édifices publics, qu’on lance des boulons sur des policiers”, a-t-il ajouté.

Le ministre du Travail Michel Sapin a de son côté appelé de ses vœux un “dialogue renoué entre les organisations syndicales et la direction de ces entreprises”. “On peut comprendre qu’il y ait de la tension, qu’il y ait parfois même de la colère chez les syndiqués, chez les salariés concernés”, a-t-il dit sur Radio Classique et Public Sénat. “Nous sommes là pour trouver des solutions”, a-t-il ajouté.

Interrogé mardi sur BFM TV, Manuel Valls avait estimé qu’on assistait “moins à des mouvements sociaux qu’à des explosions, des implosions sociales”.

 (Reuters, 8 février 2013)

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A paraître aux éditions Senonevero : “Du Kochari et du Jasmin”

03/02/2013 Aucun commentaire

 

Dans les révoltes des pays arabes du pourtour méditerranéen, la confrontation sociale et politique s’est organisée autour de deux pôles opposés : d’un côté une classe capitaliste construite comme une oligarchie clientéliste se confondant avec les appareils répressifs de l’Etat ; de l’autre, un « mouvement de rue » venu des masses urbaines prolétarisées, des concentrations ouvrières, des classes moyennes marginalisées, d’une petite paysannerie sans perspectives.

Les prolétaires deviennent des pauvres. La pente naturelle de la lutte des classes et la limite inhérente aux luttes ouvrières constituent alors un interclassisme dont le contenu propre est la politique : la formation d’une société civile. Dans le cours de la lutte, les rapports hommes/femmes ont manifesté cette revendication de société civile et le passage interclassiste de la revendication ouvrière à la revendication politique : occultation des femmes comme ouvrières, assignation des ouvrières en tant que femmes. Les islamistes travaillent à l’organisation d’une société civile, à la définition du peuple, à la recomposition de la classe dominante et à la restauration de l’Etat. Mais entre leurs mains, la séparation nécessaire de l’Etat d’avec la société et la lutte des classes est toujours menacée.

 

 

Récréation!

31/01/2013 2 commentaires

GiédRé, “Pisser debout”

“En Egypte, les Black Bloc détrônent les révolutionnaires”

30/01/2013 4 commentaires

Cette organisation, inspirée des mouvements anarchistes européens, a fait son apparition en janvier dans le pays.

Un camion de police calciné trône au milieu de la place Tahrir. Comme dans un parc d’attraction, les gens font sagement la queue, lundi 28 janvier, pour se faire prendre en photo, perchés sur le trophée du jour. La veille, en début de soirée, des manifestants se revendiquant de la révolution avaient dérobé ce véhicule à des forces de l’ordre.

Peu avant, à la fin d’une marche jusque-là pacifique à l’initiative des forces d’opposition, ils avaient failli décrocher un lot plus gros encore en capturant un officier de police après qu’une voiture a renversé deux jeunes. L’homme d’une soixantaine d’années s’en est sorti in extremis et a pu rentrer dans la porte dérobée d’un hôtel, extrait de la foule furieuse par d’autres révolutionnaires, 27 personnes ont été arrêtés. Lire la suite…

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Espagne : les emplois au rabais de Renault

30/01/2013 2 commentaires

Egypte : l’ère des émeutes

27/01/2013 3 commentaires

Le titre de cet article renvoi à un texte (en anglais) des camarades de Blaumachen ainsi qu’au texte Le temps des émeutes a commencé

Le bilan des affrontements s’élève aujourd’hui à 32 morts et plus de 300 blessés.

Nous donnons pour information  ( en anglais ) la déclaration du «  black bloc » qui a fait sa première apparition en masse sur la place Tahrir.

Ces déclarations et les actions pour le deuxième anniversaire de la “révolution”, et pour ce que certains appellent “un tout nouveau niveau” de protestation en Egypte.

L’anarchisme et le concept black bloc a augmenté ces derniers mois à travers l’Egypte, Issu du regroupement de divers anarchiste / cercles qui se sont coalisés pendant la période révolutionnaire. Une méfiance massive parmi la jeunesse de tous les partis politiques, une critique acerbe du rôle de la religion dans la gouvernance et l’inspiration de la résistance anarchiste dans le monde (surtout symbolisée par la révolte fin-2008 en Grèce) ont aidé à catalyser. Lire la suite…

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Grèce : réquisition des travailleurs du métro d’Athènes en grève

25/01/2013 4 commentaires

Extrait d’un article du site de l’OCL

Ce matin, à 04h00, la police anti-émeutes grecque a forcé l’entrée d’un dépôt ferroviaire à Athènes pour disperser des employés du métro en grève depuis neuf jours consécutifs. Des échauffourées se sont produites lorsque les policiers ont donné l’assaut . Une dizaine de grévistes ont été interpellés

Le gouvernement ordonne la réquisition des travailleurs du métro d’Athènes

Alors qu’ils entamaient leur 8ème jour de grève, les travailleurs du métro d’Athènes doivent faire face à un ordre de réquisition générale. Malgré les risques d’arrestation et de prison, ils ne semblent pas vouloir obéir.

Après les squats, les travailleurs grévistes qui se dressent contre les mesures d’austérité, il est clair que l’Etat grec aux ordres de l’UE et du FMI, a décidé d’utiliser la manière forte pour briser les espaces de résistance et d’organisation collective qui s’opposent à la politique du capital…

Alors, la nouvelle phase des politiques de “gestion” de la crise et de contention des luttes sociales, c’est ça ? La prison pour tous ceux qui refusent la misère et osent entrer en lutte pour contester l’austérité ?

 

Jeudi 24 janvier 2013, le gouvernement de coalition a pris la décision de recourir à la réquisition de tous les travailleurs du métro d’Athènes. Le ministre du Développement, Costis Kadzidakis, après une rencontre avec le Premier ministre et avec le soutien du pouvoir judiciaire, a pris cette mesure afin de réprimer la grève menée par les travailleurs contre les baisses de salaires, la suppression de leur convention collective et l’élimination de leurs droits de travailleurs. L’ordre de « mobilisation civile » [réquisition] prendra également effet pour les travailleurs des autres transports publics, dans le cas où des grèves se poursuivraient en solidarité avec leurs collègues et camarades. Lire la suite…

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“La chaîne de montage commence à la cuisine, au lavabo et dans nos corps”

22/01/2013 un commentaire

En parallèlle de la parution en français  de “Caliban and the witch”, aux Editions SENONEVERO (à venir en 2013)

Un entretien avec Silvia Federici

Silvia Federici est professeure à la Hofstra University de New York et militante féministe depuis les années 1960. Son œuvre aborde la philosophie et la théorie féministe, l’histoire des femmes ou, plus récemment, l’impact des politiques du FMI et de la Banque mondiale en Afrique qu’elle a pu étudier de près après un long séjour au Nigeria. Mais Federici est surtout connue pour ses études détaillées sur les processus d’expropriation des corps et des savoirs, sur l’histoire de la chasse aux sorcières et sur les questions reproductives. Ce sont les thèmes qui sont au cœur de son ouvrage : « Caliban and the Witch : Women, the Body and Primitive Accumulation ». (Caliban et la sorcière : Femmes, corps et accumulation primitive : édition anglaise, 2004, édition espagnole, 2010). Certaines personnes estiment qu’il s’agit de la partie non écrite du Capital de Marx, ce qu’elle réfute en disant que s’il en était ainsi, elle ne ferait qu’ajouter des choses alors qu’il s’agit de les repenser. Entretien réalisé par Manel Ros pour le journal « En Lucha ».

Pourquoi écrire un livre sur les sorcières et sur la chasse aux sorcières ?

Ce livre sur les sorcières est né à partir de recherches que j’avais commencées dans les années 1970 et qui étaient liées aux débats qui se déroulaient à l’époque au sein du mouvement des femmes. Ces débats concernaient l’origine de la discrimination des femmes, les raisons des positions différentes qu’occupent les femmes dans la société capitaliste par rapport aux hommes. Je voulais avant tout comprendre pourquoi les femmes étaient toujours discriminées. J’avais une théorie à ce sujet, mais j’étais intéressée à démontrer que cette discrimination ne reposait pas sur la tradition, mais qu’elle s’était construite, de facto, dans la société capitaliste. Autrement dit, le patriarcat n’est pas un héritage du passé, il a au contraire été refondé par le capitalisme. Lire la suite…

L’abolition de la valeur (cinquième épisode) par Bruno Astarian

21/01/2013 Aucun commentaire

Allez directement au chapitre 6 qui est entièrement consacré à une lecture critique de Postone

Résumé des chapitres précédents par B.A.:

Après avoir étudié, dans le premier chapitre de notre feuilleton, la façon dont Marx envisage l’abolition de la valeur et le dépassement du capitalisme, nous avons examiné, dans le chapitre 2, la théorie marxienne de la valeur telle qu’elle se présente dans le premier chapitre du Capital. Nous y avons notamment trouvé une acception du travail abstrait comme « dépense de force humaine », acception nécessitant de donner à l’échange un rôle primordial dans la définition de la valeur. Roubine est très conscient des problèmes de cette approche, mais n’arrive pas à en dépasser les ambiguïtés, qui sont la marque de l’époque où Marx et Roubine ont théorisé la valeur.

Pour des raisons pratiques, le troisième chapitre est en attente de rédaction. Le chapitre 4 est consacré à notre conception de la théorie de la valeur : il s’est agi de promouvoir une compréhension de la valeur qui situe résolument celle-ci dans la sphère de la production, à partir de la division sociale du travail comme recherche de la productivité. Cela nous a notamment amenés à redéfinir la notion de valeur d’usage par rapport à la façon dont en parle tous les marxistes, et à constater que le travail abstrait se définit comme quelque chose de concret.

Le chapitre 5 complète les recherches du chapitre 4 sur la valeur en proposant une définition du travail productif qui soit vraiment discriminante. Cependant, si la distinction entre travail productif et travail improductif est indispensable à la théorie de la valeur, la question se pose de son enjeu au regard de la théorie du prolétariat comme sujet révolutionnaire.

Le chapitre 6 conclut la deuxième partie de notre projet. Il est entièrement consacré à une lecture critique de Postone. Il apparaît que les développements très sophistiqués que Postone apporte à la théorie du fétichisme de la marchandise ne le font pas aboutir pour autant à une vision convaincante de la contradiction fondamentale du mode de production capitaliste. La théorie critique de la valeur (celle de Postone tout au moins) est impropre à critiquer le MPC jusqu’au point où celui-ci rend possible le communisme.

Aller au chapitre 6: Michael Postone: La valeur et la domination abstraite

Trouvé sur la toile

18/01/2013 Aucun commentaire

Rouge Mécanique

 

Nouveau Blog dont la visée est la critique des idéologies anti-technologiques d’un point de vue de classe. Les textes publiés sur “Rouge Mécanique” visent à travers les analyses des thèses de “L’encyclopédie des Nuisances”, Zerzan, Le Comité Invisible, ou Pièce et Main d’oeuvre, à critiquer les positions des tenants de l’anti-technologique comme relevant d’une focalisation pseudo-radicale autour de la technique qui occulte et prend la place de la critique des rapports sociaux capitalistes.

En travaillant, nous, ouvriers, produisons le capital

15/01/2013 Aucun commentaire

 

Avec une introduction de la rédaction d’ Il Lato cattivo  et un appendice critique extrait des pages 89-91 du n° 15 de Théorie Communiste à propos de la séparation idéologique entre lutte des classes et évolution du mode de production capitaliste.

Pourquoi revenir encore une fois sur l’opéraisme italien ? En effet, au moins en Italie, la littérature à ce propos est abondante, et il y a tout un cercle de nouveaux chercheurs provenant de milieux universitaires engagés qui ont accompagné les désormais antiques opéraïstes  (plus ou moins convertis à l’altermondialisme) dans leur auto-célébration par une profusion de publications dans de grandes maisons d’édition et de distribution.

Mais, si Toni Negri et compagnie ont eu, malgré tout, un certain rôle dans les années 60-70, comme dans les années fastes des contre-sommets et du « Mouvement des mouvements » -rôle, certes, à relativiser mais, non épuisé- cela n’est pas dû à un complot, ni a une simple question de mode culturelle. Il n’est donc pas question, et de beaucoup, de stigmatiser des personnes ( à double langage ou presque ) ou leurs tirs à boulets rouges (Marx au delà de Marx, Empire ou…) au titre de la Pravda communiste, mais de montrer en vertu de quoi certains de ces tirs deviennent possibles et idéologiquement efficients. Lire la suite…

L’asystémie de la revendication ici et là…..FORD GENK Belgique

14/01/2013 5 commentaires

 

Pour faire suite à un article sur la Fiat paru dans la dernière livraison de la revue Théorie Communiste,

Voici le dernier vote organisé dans une usine automobile ( après l’Italie et l’Espagne) pour faire avaliser par les ouvriers leur propre exploitation.

Bien évidemment, nous ne nous reconnaissons nullement dans l’analyse programmatiste de l’interview ci-dessous, nous ne le donnons que pour les informations qu’il contient.

les phrases en gras sont de notre fait.

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Ford Genk : « Le référendum révèle une radicalisation des ouvriers ». Entretien avec Erik Demeester

Erik DemeesterJean Peltier10 janvier 2013Avanti4.be

Lundi ( 7 janvier), à une courte majorité (54%), les travailleurs de Ford Genk ont accepté la proposition de reprise du travail pendant trois mois. Mais ce mercredi ( 9 janvier), des piquets de grève ont bloqué l’approvisionnement de l’usine. Une partie des travailleurs se radicalise dans ce conflit qui est déjà long de plus de trois mois. Nous faisons le point avec Erik Demeester, qui est rédacteur au mensuel marxiste flamand Vonk et un des animateurs à Bruxelles des Comités d’Action contre l’Austérité en Europe.

Avant d’en venir aux événements des derniers jours, peux-tu résumer ce qui s’est passé depuis la manifestation de solidarité qui avait réuni 20.000 personnes dans les rues de Genk le 11 novembre ? Vu du sud du pays, on a un peu l’impression que cette lutte avait disparu de l’actualité, même en Flandres.

Erik : Au lendemain de cette manifestation, pas mal de militants de gauche avaient présenté celle-ci comme un cortège d’enterrement de la lutte par les directions syndicales. J’avais expliqué que cette grande manifestation (dontla Flandre n’a pas l’habitude) ne pouvait pas être réduite à cela et que sous le calme apparent couvaient une grande colère et une grande détermination. Ce sont cette colère et cette détermination qui viennent de s’exprimer lors du référendum et surtout lors des piquets de grève qui se sont organisés quasi-spontanément aujourd’hui pour bloquer les usines de sous-traitance qui alimentent l’usine de Ford. Lire la suite…

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La bataille des squats à Athènes

13/01/2013 un commentaire

Le 20 décembre dernier, la police évacuait le plus ancien squat d’Athènes (22 ans), la Villa Amalias. Depuis cette date, la bataille contre l’expulsion des squats s’est nettement réchauffée en Grèce alors que davantage de lieux occupés sont attaqués et des dizaines de personnes arrêtées.

Aujourd’hui samedi 12 janvier, plus de 10 000 manifestants ont défilé dans les rues d’Athènes comme première riposte à la vague répressive.

Il semble maintenant faire peu de doute que l’Etat grec a lancé une attaque importante et soutenue contre les squats et le mouvement anarchiste en général. Au cours des dernières semaines, en plus de Villa Amalias, deux autres squats situés dans le centre d’Athènes ont été attaqués par les forces de police. Ce n’est peut-être que le début d’une opération plus importante. Un rapport confidentiel divulgué suggère que la police grecque a l’intention d’attaquer 40 squats à travers le pays. Après les événements de ces derniers jours, il semble également ne faire aucun doute que si la police devrait mener à bien ce plan, elle devra se battre pour chaque bâtiment. Lire la suite…

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Tunisie : déploiement de l’armée après des émeutes

11/01/2013 2 commentaires

 

Le district de Ben Guerdane incendié par les manifestants

En début de soirée du 10 janvier, les affrontements entre les manifestants et les forces de l’ordre se sont intensifiés à Ben Guerdane. L’utilisation du gaz lacrymogène a été constatée et même le recours à des tirs à balles réelles a été réclamé ; toutefois, le ministère de l’Intérieur a refusé ce recours.

Ce témoignage a été apporté par Ammar Mhamdi, secrétaire général de l’Union Régionale du Travail de Ben Guerdane sur les ondes de radio Mosaïque FM, qui déclare, en outre, que des manifestants ont pris d’assaut le district de Ben Guerdane et l’ont incendié.

M. Mhamdi ajoute que les forces de sécurité se sont retirées laissant place à l’armée qui devait intervenir. D’autres sources dont un reportage sur Ettounissiya TV évoque d’autres incendies des locaux du poste de police et de la douane, ainsi que le vol des véhicules de ces organismes ainsi que les actes de saccage touchant le siège du parti d’Ennahdha dans la même localité frontalière.

 (BusinessNews.com.tn, 10 janvier 2013 – 21h52) Lire la suite…

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Afrique du Sud : la police tire sur des ouvriers agricoles en grève sauvage

10/01/2013 Aucun commentaire

Des heurts ont opposé jeudi ( 10 janvier 2013) pour la deuxième journée consécutive la police sud-africaine à des centaines d’ouvriers agricoles en grève pour leurs salaires dans la région du Cap, les forces de l’ordre tirant des balles en caoutchouc pour répondre à des jets de pierres, ont constaté des journalistes de l’AFP.
Les ouvriers agricoles de la région du Cap occidental, principale zone de production viticole et de fruits et légumes d’Afrique du Sud, ont relancé mercredi une grève pour obtenir une augmentation de leur salaire journalier de 70 à 150 rands (6 à 13 euros).
Les échauffourées entre les policiers et des groupes de manifestants très mobiles se poursuivaient dans la matinée près de la localité de De Doorns, sur la route nationale qui relie le Cap à Johannesburg, fermée à la circulation.

 

La police sud-africaine a tiré mercredi des balles en caoutchouc sur des ouvriers agricoles en grève sauvage qui leur lançaient des pierres Lire la suite…

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L’abolition de la valeur (quatrième épisode) par Bruno Astarian

04/01/2013 Aucun commentaire

Dans le chapitre qui suit, B.A se  propose de donner un nouvel éclairage sur la question du travail productif. Cela l’’amène notamment à revenir sur la question de la consommation des capitalistes, déjà évoquée, mais sans la définir. Il  conclue en essayant de faire le rapport entre le travail productif et le prolétariat comme sujet révolutionnaire comme il le dit lui même dans sa présentation.

Résumé des chapitres précédents:

Après avoir étudié, dans le premier chapitre de notre feuilleton, la façon dont Marx envisage l’abolition de la valeur et le dépassement du capitalisme, nous avons examiné, dans le chapitre 2, la théorie marxienne de la valeur telle qu’elle se présente dans le premier chapitre du Capital. Nous y avons notamment trouvé une acception du travail abstrait comme « dépense de force humaine », acception nécessitant de donner à l’échange un rôle primordial dans la définition de la valeur. Roubine est très conscient des problèmes de cette approche, mais n’arrive pas à en dépasser les ambiguïtés, qui sont la marque de l’époque où Marx et Roubine ont théorisé la valeur.

Pour des raisons pratiques, le troisième chapitre est en attente de rédaction. Le chapitre 4 est consacré à notre conception de la théorie de la valeur : il s’est agi de promouvoir une compréhension de la valeur qui situe résolument celle-ci dans la sphère de la production, à partir de la division sociale du travail comme recherche de la productivité. Une telle approche procède du fait que notre époque montre suffisamment qu’il ne s’agit pas seulement d’abolir l’échange, mais de remettre en cause la production jusque dans les moindres détails de son organisation actuelle. Cela nous a notamment amenés à redéfinir la notion de valeur d’usage par rapport à la façon dont en parle tous les marxistes, et à constater que le travail abstrait se définit comme quelque chose de concret.

Le chapitre 5 complète les recherches du chapitre 4 sur la valeur en proposant une définition du travail productif qui soit vraiment discriminante. Cependant, si la distinction entre travail productif et travail improductif est indispensable à la théorie de la valeur, la question se pose de son enjeu au regard de la théorie du prolétariat comme sujet révolutionnaire.

Le plan de la deuxième partie n’a pas changé.

Chapitre 5: L’échange, la sphère improductive et la consommation des capitalistes

Approche générale de la restructuration du rapport entre le prolétariat et le capital (Roland Simon)

01/01/2013 Aucun commentaire

 

Trouvé sur le blog In Limine

Voici un extrait de l’ouvrage de Roland Simon « Théorie du communisme, Volume I, Fondements critiques d’une théorie de la révolution » paru en 2001 au éditions Senonevero, (de la page 32 à 35) qui a trait au rapport restructuré entre le capital et le travail depuis la fin des années 70. Il introduit une explication de la dynamique qui produit depuis une trentaine d’années une redéfinition de l’emploi salarié, qui, il est important de le noter car c’est là que se situe l’enjeu du « moment actuel », peut survenir dans les luttes à partir des situations de chômage, précarité, flexibilité, etc. et de ce qu’il en découle de révoltes (à partir du moment où ces révoltes arrivent à dépasser les limites qui obscurcissent la vision de leur relations directes avec la dynamique de contradictions de classes et de genres).

Cet extrait sera suivi d’un autre, la suite dans l’ouvrage en fait, approfondissant ce sujet du point de vue de la destruction de l’identité ouvrière. Il se veut aussi sur ce site, la suite de l’article : « La flexibilité ou la limite trouvée à l’affirmation de l’identité du prolétariat »

Bonne lecture

Voir le Fichier : Approche_generale_de_la_restructuration_du_rapport_entre_le_proletariat_et_le_capital.pdf

 

 

 

On a reçu ça

30/12/2012 Aucun commentaire

LECTURE DE “BLACKOUT”, POEME DE BALESTRINI

30/12/2012 Aucun commentaire

Pour bien commencer l’année prochaine les éditions Entremonde organisent une lecture de “Blackout”, poème de Balestrini publié à Entremonde. Il est lu par Jérome Richer (comédien genevois, habitué de la Parole Errante) et Vincent Bertholet à la contrebasse (qui joue d’habitude dans l’Orchestre tout puissant Marcel Duchamp)

Le spectacle dure 45mn et pour les deux soirs c’est à entrée libre :

— 10 janvier c’est à Marcovaldo – Libreria Caffè 61, rue Charlot 75003 Paris (proche métro république, filles du calvaire) à 19h précises (début 19h15-20)

http://www.marcovaldo.fr/evenements… en présence d’Ada Tosatti, spécialiste de l’oeuvre de Nanni Balestrini.


— 11 janvier 20h à la Parole Errante, 9 rue françois debergue 93100 Montreuil, suivi d’un repas à prix libre en soutien aux éditions Entremonde.

N’hésitez pas à faire circuler ce mail,

on espère vous voir un de ces deux soirs ! Lire la suite…