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Un nouveau site italien sur la communisation….


Le communisme est et reste le seul dépassement possible de la société capitaliste; cependant sa forme et son contenu ne sont pas invariants, mais ils sont historiques et discontinus. Une époque – celle du mouvement ouvrier – s’est terminée, et ne reviendra plus. L’héritage théorique des luttes passées ne manquera pas de manifester son obsolescence. Il s’agit alors, pour ceux qui se posent le problème de la révolution, d’en tirer toutes les conséquences. Il s’agit de comprendre le rapport qui actuellement existe entre les luttes quotidiennes du prolétariat, la révolution et le communisme. Il s’agit néanmoins de saisir finalement cette compréhension comme un élément qui est entièrement  à l’intérieur de ce rapport: sans lutte, pas de théorie; sans théorie, pas de révolution.
Aussi bien que beaucoup d’autres gens, nous avons commencé. Nous avons des idées, peut-être pas du tout bizarres. Nous définissons le procès révolutionnaire futur comme l’adoption nécessaire, de par le prolétariat, de mesures immédiatement communistes – sans transition, sans socialisme. La nécessité de ces mesures – la nécessité du communisme comme moyen de la révolution – est aujourd’hui préfigurée dans un certain nombre de luttes des classes. Ce sont ces questions, aussi bien que beaucoup d’autres, qu’on voudrait envisager dans ce blog. Celui-ci est organisé en trois sections:
1)«Revue» : où on peut télécharger, au fur et à mesure qu’ils vont sortir, les numéros de «Il lato cattivo» ou chaque article de la revue.
2)«Matériaux auxiliaires» : où il y a des textes qui, pour différentes raisons, ne font pas partie de la revue, mais qui peuvent l’intégrer ou se dialectiser avec celle-ci.
3) «Ruptures théoriques 1965-1980» : où il y a des textes qui sont l’expression d’une rupture avec l’Ultragauche, et qui ont jeté les bases du débat actuel sur «la communisation des relations entre les individus».

Il comunismo è e rimane l’unico superamento possibile della società capitalista; tuttavia la sua forma e il suo contenuto non sono invarianti, ma storici e discontinui. Un’epoca – quella del movimento operaio – si è conclusa, e non ritornerà. Il patrimonio teorico delle lotte passate non mancherà di palesare la propria obsolescenza. Si tratta dunque, per coloro che si pongono il problema della rivoluzione, di trarne fino in fondo tutte le conseguenze. Si tratta di comprendere il rapporto che oggi intercorre tra le lotte quotidiane del proletariato, la rivoluzione e il comunismo. Si tratta, nondimeno, di riconoscere finalmente tale comprensione come un’articolazione del tutto interna a questo stesso rapporto: senza lotta, nessuna teoria; senza teoria, nessuna rivoluzione.

Noi, come molti altri, abbiamo iniziato. Abbiamo qualche idea, forse non proprio peregrina. Designiamo il processo rivoluzionario a venire come la necessaria adozione, da parte del proletariato, di misure immediatamente comuniste – senza transizione, senza socialismo. La necessità di queste misure – la necessità del comunismo come mezzo stesso della rivoluzione – si dà come già prefigurata in un certo numero di lotte proletarie contemporanee. Di questo, e di molto altro, si vuole rendere conto in questo blog, che è organizzato in tre sezioni principali:

“Rivista”: vi si potranno scaricare i numeri de “Il Lato Cattivo” che usciranno via via, e/o leggerne gli articoli singolarmente presi;
“Materiali ausiliari”: contiene testi che, per vari motivi, non hanno trovato spazio nella rivista, ma che possono integrare (o essere dialettizzati con) quest’ultima;
“Rotture teoriche 1965-1980”: raccoglie le espressioni di rottura con le Sinistre Comuniste, che hanno gettato le basi dell’odierno dibattito sulla “comunizzazione dei rapporti fra individui”.

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  1. CLN
    10/02/2012 à 09:35 | #1

    sortie du numéro1 DE CETTE REVUE ITALIENNE.

    Il s’agit d’une synthèse des positions de T.C. sur l’auto-organisation, la restructuration, le genre dans la première partie “Lavoro in corso” (Travail en cours) (p.2); cela est soutenu par des références à des italiens inconnus de moi, et par d’autres sources plus proches (toujours de moi). Les autres parties comprennent (p15) une présentation de Blaumachen et une traduction de leur texte(p. 16) -signé woland- dans SIC “La production historique de la Révolution” . il y a aussi une traduction du “Temps des émeutes”(p.26) par Agents du chaos, et celle d’une réponse d’Amersimpson à Comunizacion(p.29) (sur dndf) au sujet de l’insurrectionalisme.

  2. A.D.
    14/02/2012 à 01:28 | #2

    Aussi un glossaire (première partie), on y trouve :

    Autotrasformazione
    «La dottrina materialistica della modificazione delle circostanze e
    dell’educazione dimentica che le circostanze sono modificate dagli uomini e
    che l’educatore deve essere educato. Essa è costretta quindi a separare la
    società in due parti, delle quali l’una è sollevata al di sopra di essa società.
    «La coincidenza del variare delle circostanze e dell’attività umana, o
    autotrasformazione, può essere concepita o compresa razionalmente solo
    come prassi rivoluzionaria.» [Karl Marx, Tesi su Feuerbach, 1845]

    Salutations aux camarades péninsulaires,
    pour la révolution de communisation sociale.

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