Ce texte est un de ceux qui seront discutés au rassemblement d’été de la revue internationale “SIC” qui doit voir paraître sous peu son N° 1. Nous donnerons sous peu un peu plus d’infos sur cette rencontre. (english translation will follow this text, soon!)
ICI, pour ceux que cela intéresse, le programme de la réunion de la revue “SIC”
Dans la 1ère partie du texte Le pas suspendu de la communisation, intitulée Communisation Vs Socialisation, il s’agissait d’une part de montrer que des emparements d’éléments du capital pouvaient être « communisation », c’est-à-dire « désappropriations » pures, abolition de tout rapport de propriété, même collective et même « prolétarienne ». On s’emparerait donc de ces éléments pour constituer une communauté nouvelle d’individus définissant entre eux, dans leur singularité, des rapports immédiats dans la lutte contre le capital, comme contenu même de cette lutte. Mais, d’autre part, ce processus de « communisation », c’est-à-dire de production du communisme, est intriqué avec l’autre contenu possible de ces emparements : être des appropriations, des socialisations qui entrent dans la constitution d’une nouvelle économie autogérée, sociale et populaire, contrerévolutionnaire. Chacun de ces possibles est, pour l’autre, son autre, c’est-à-dire qu’ils sont dans un rapport conflictuel où chacun, dans sa propre pratique, reconnaît l’autre comme nécessaire, comme un moment de lui-même. Lire la suite…
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