“Le bref été de l’anarchie” : la vie et la mort de Buenaventura Durruti
Si Hans Magnus Enzensberger a choisi de nommer “roman” cette vie de Durruti, ce n’est pas par excès de modestie, et encore moins par ironie Un souci de rigueur l’y conduit, rigueur ni plus ni moins paradoxale que l’entreprise du livre même. S’en expliquant, l’auteur justifie du même coup le parti qu’il a pris de “raconter” cette vie par le seul moyen d’un assemblage de documents : extraits de reportages, discours, tracts, brochures, Mémoires, interviews de témoins survivants, sans jamais intervenir directement dans le récit. Roman de collage donc, reconstitution toujours fragmentaire, à la fois lacunaire et trop riche, “contradictoire”, toujours ramenée aux incertitudes scintillantes de la tradition orale : roman de Durruti, où l’Histoire apparaît comme “fiction collective”.


Des dizaines de milliers d’espagnols ont manifesté ce samedi dans une quarantaine de ville à l’appel des deux principaux syndicats du pays (UGT et CCOO).
Les accrochages se sont déroulés au lendemain de la tentative de suicide d’un commerçant ambulant dont les autorités avaient saisi la marchandise, alors que le taux de chômage s’avère élevé dans cette région.

De violents heurts ont opposé des étudiants et manifestants aux forces de l’ordre qui quadrillait le centre pendant un vote décisif au parlement.


Des heurts ont opposé jeudi après-midi à Londres policiers et manifestants qui tentaient de se diriger vers le Parlement, où les députés ont entamé le débat sur un projet contesté d’augmentation des droits d’inscription universitaires.


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