Espagne: “¡Que se vayan todos!”
“¡QUILS PARTENT TOUS!”
Nous sommes nombreux ces derniers jours à affluer dans les rues pour protester. Tous, nous nous sommes identifié au rejet des politiciens, des syndicats et des patrons..Avant tout , nous nous sommes rendus compte que nous avons atteint une limite que nous en avons assez d’être les parias de ce monde. Que nous ne supportons plus que quelques uns se remplissent les poches et vivent comme des rois pendant que d’autres se serrent la ceinture au-delà de toute limite afin de maintenir en forme la sacro-sainte économie. Que nous savons que pour changer tout cela nous devons lutter nous-mêmes, en marge des partis, syndicats et autres représentants qui veulent nous prendre en charge. Lire la suite…
Le gouvernement irlandais est bien parti pour devoir assumer une dette de près de 250 milliards d’euros en 2014. Le spectre d’une faillite nationale durable et chaotique se précise, prédit l’économiste Morgan Kelly.
Lancé à Madrid le 15 mai, un mouvement de protestation sociale surprend un pays en pleine campagne électorale.Le ras-le bol après trois ans de crise est bien réel. Et c’est en ligne, comme lors des révolutions tunisienne et égyptienne, que les jeunes Espagnols ont commencé à se rassembler. Le mouvement du « 15 M » (parce qu’il a démarré le 15 mai) prend le pays de court alors que se tiennent le 22 mai les élections municipales et régionales.
Depuis quatre mois, beaucoup de choses ont été dites sur les « révolutions arabes », mais bien peuvent nourrir un projet explicitement révolutionnaire. Ce dernier, pour nous, ne vise pas un changement des possesseurs du pouvoir, mais un changement radical de son exercice par l’instauration d’une démocratie directe où les peuples établissent une véritable sphère publique. Cette autonomie collective, rigoureusement inséparable de l’émancipation individuelle, plonge loin ses racines dans l’histoire et nous semble seule capable d’éclairer l’avenir sombre qui est le nôtre. 
Pour le neuvième vendredi consécutif, les Syriens étaient appelés à descendre dans la rue. Après le «vendredi saint», celui «de la colère», celui «du défi», cette journée a été baptisée le «vendredi des femmes libres».
C’est désormais devenu une habitude. Comme chaque samedi, les pouvoirs publics (re)ssortent dans les rues d’Alger leur arsenal de la répression. La capitale du pays arborait dès les premières heures de ce samedi du 7 mai un visage d’une ville toujours sous état de siège. 
Qu’ils soient amis ou ennemis du régime syrien, les Libanais observent avec inquiétude ce qui se passe chez leur voisin en proie à un mouvement de contestation sans précédent. Une éventuelle déstabilisation de la Syrie pourrait avoir de graves répercussions sur le Liban.
C’est intéressant d’associer le massacre des amérindiens

Rencontre/discussion avec les auteurs de la brochure , Jeudi 21 avril à 19 h Maison IV de chiffre, 26 rue des Teinturiers, Avignon.

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