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Archives pour la catégorie ‘Du coté de la théorie/Around theory’

Un nouveau site sur la communisation

15/12/2010 Aucun commentaire

HIC SALTA – COMMUNISATION

Site de Bruno Astarian

Débats autour du mouvement d’octobre/novembre 2010…..

05/12/2010 76 commentaires

Du mouvementisme à l’autonomisation des luttes- ébauche de réflexion pratique critique.

“Je propose ici une ébauche de réflexion critique sur les trois dernières semaines de lutte, tant niveau local que national, tant pour penser son action que pour la mettre en question ; en espérant être complété et contre-argumenté par d’autres personnes en vue, pourquoi pas, d’une sorte de texte collectif de positionnement. De sorte que chacun puisse contribuer à cette autocritique analytique, par ses propres textes, par fragments thématiques, par envies et besoins, à signer librement et de manière anonyme , ou pseudo, en vue d’une analyse en-train-de-se-faire et émanant de partout à la fois, selon les expériences individuelles et collectives. Lire la suite…

“Travailler sans le savoir : le chef-d’œuvre du capital” – un texte de Carlo Formenti

05/12/2010 Aucun commentaire

En perpétuelle recherche de taux de profit plus conséquents (ou simplement pour préserver ceux-ci), le capitalisme mute ; sans cesse. Il parvient pourtant – coup de maître – à donner l’impression que ses petites mains y gagnent reconnaissance et autonomie. Une construction fallacieuse, parfaitement démontée dans un texte de Carlo Formenti, traduit par Serge Quadruppani. Lire la suite…

Dernière production des éditions Senonevero

23/11/2010 Aucun commentaire

L’idéologie du Blocage

20/11/2010 un commentaire

Contribution à l’analyse du mouvement d’octobre/novembre

Première lettre

Je  pense  que,  sans  nier  l’apparition  de  quelques poussées  de  révolte  ces  dernières  semaines,  dans le genre des émeutes à Lyon, il est essentiel de tenir compte des limites des multiples manifestations ac- tuelles de contestation qui, grosso modo, n’outrepas- sent pas le cadre de la défense de l’Etat providence à la française, avec ce que ceci implique de quasi-ab- sence de critiques sérieuses de la société capitaliste et de l’Etat en général. Lire la suite…

“Nous ne revendiquons rien”… de Montréal

20/11/2010 Aucun commentaire

«Nous ne renvendiquons rien», une analyse des émeutes et rébellions made in USA
Cette brochure a été traduite et publiée initialement en France par les éditions SENONEVERO ainsi que diffusée sous cette forme par La Sociale depuis le dernier Salon du livre anarchiste de Montréal. Cette nouvelle édition de La Sociale est maintenant disponible à la librairie anarchiste L’INSOUMISE de Montréal. Lire la suite…

“Vingt-huit thèses sur la société de classes” : un commentaire critique.

16/11/2010 Aucun commentaire

Ce commentaire des “28 thèses” a été écrit suite à la demande des camarades de Kosmoprolet à Théorie Communiste. Il devrait être publié (en partie au moins) dans un de leurs prochains numéros.

De l’ensemble des thèses ressort une problématique se fixant dans un « entre deux » : entre les théories de l’autonomie ouvrière encore liée à l’opéraïsme et celle de la révolution comme « auto-abolition du prolétariat » que l’on peut qualifier de théorie de la communisation. Ainsi la communisation est définie, à la fois, très abstraitement comme « auto-abolition » et très concrètement comme « auto-organisation » ; comme recomposition des « prolétarisés » en tant que sujet historique, acteur collectif existant pour lui-même, un sujet analogue à celui des grandes heures radicales de la lutte de classe jusque dans les années 1970. Lire la suite…

“Les raisons de la colère”

15/11/2010 Aucun commentaire

un  reportage d’ARTE sur les émeutes dans le monde.
L’émeute comme symptôme de la rupture du consensus social, de la “place politique” de chaque groupe social, symptôme de de l’exclusion des “jeunes”, de “l’avenir”.
Avec un petit goût de nostalgie pour le rétablissement d’un ordre démocratique passé et fantasmé, dans lequel “tout le monde aurait sa place”, un … démocratisme radical:”l’urgence, c’est de retrouver les espaces d’interlocution… retrouver la politique” (Berto)
“le sens d’une émeute c’est de rappeler: “nous sommes là!”….
“le refus d’une certaine forme de gouvernance vécue comme  foncièrement éloignée des intérêts de la population”.

La réaction des états comme illégitime.
L’émeute comme irruption immunitaire d’un corps social “malade”.
La révolte comme indicateur des “points de disfonctionnement de la régulation” (Negri)
La disparition du mouvement ouvrier ramène les prolétaires dans la multitude qui s’oppose à un  Etat qui ne sait pas répondre aux angoisses de ses populations face à la mondialistation….

L’approche mondiale, globale, phénoménale de ce reportage réussit à faire disparaitre le prolétariat et le capital et leur rapport d’implication réciproque pour présenter les émeutes comme un problème de gouvernance, locale et mondiale…

La suite du reportage dessous

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About communisation….once again

20/09/2010 Aucun commentaire

Dal rifiuto del lavoro alla comunizzazione. «Troploin» e «Théorie Communiste».

06/09/2010 Aucun commentaire

About communisation

06/09/2010 Aucun commentaire

Misère et dette

28/08/2010 Aucun commentaire

Un article publié dans la revue Endnotes (Grande-Bretagne), traduit en français.
Misère et dette

La visibilité du projet révolutionnaire et les nouvelles technologies

26/08/2010 2 commentaires

Le dénommé “courant communisateur” possède un trait singulier qui le distingue d’autres tendances communistes contemporaine, et qui consiste dans le fait que ceux qui y participent ont tenté d’aborder de vieux problèmes du mouvement révolutionnaire sans avoir recours aux formulations sclérosées du matérialisme dialectique soviétisé. C’est ainsi que l’une des controverses qui agitent le plus ce courant se réfère au problème de savoir “si le communisme est une conséquence nécessaire du capitalisme et de son collapsus imminent”. Lire la suite…

END NOTES N°2

23/06/2010 Aucun commentaire


1.
Crisis in the Class Relation
Taking the capitalist class relation as a self-reproducing whole, the horizon of its overcoming appears as an invariant aspect of this whole, albeit one with a historically variant quality. Surplus population and capital’s basic problem of labour characterise core dynamics underlying the shift in this horizon beyond the old programme of workers’ power. Lire la suite…

Franchir le pas !

06/06/2010 Aucun commentaire

(pour voir la couverture, cliquez sur l’image)

Théorie Communiste N° 23 vient de sortir!

Edito

Franchir le pas
Qu’est-ce qui fait que Théorie Communiste apparaisse comme un paradigme suscitant méfiance et réticence vis-à-vis d’un milieu pourtant riche en divergences et affrontements ? TC apparaît comme extérieur à un en-commun à l’intérieur duquel se déroulent divergences et affrontements finalement convenus. Laissons pour l’instant de côté la scie de la difficulté de lecture de TC, mais nous y reviendrons.
Bien sûr il y a la critique de l’auto-organisation, de l’autonomie, de toute forme de gestion ouvrière, il y a la critique du programmatisme, c’est-à-dire la périodisation historique de la révolution et du contenu même du communisme, il y a la restructuration du mode de production capitaliste, c’est-à-dire de la contradiction entre le prolétariat et le capital, il y a l’affirmation de l’existence d’un nouveau cycle de luttes se définissant par la lutte d’une classe dont l’existence même comme classe est la limite de sa lutte, il y a la critique de toute vision normative des luttes et de la révolution. Il y a tout cela, mais l’essentiel est dans la rupture que représente TC vis-à-vis du paradigme théorique définissant l’en-commun de ces débats, controverses et polémiques. Lire la suite…

Vient de paraître!

06/06/2010 Aucun commentaire

“Ouvriers contre le travail”
Barcelone et Paris pendant les fronts populaires
Michael Seidman. Traduit de l’anglais (États-Unis).
Mai 2010
368 p.
15 €

Michael Seidman montre la continuité de la résistance au travail, en grande partie ignorée ou sous-estimée par les théoriciens et historiens du xxe siècle. Au moment des Fronts populaires, les ouvriers ont persévéré dans leurs pratiques antérieures qui donnaient déjà le caractère extérieur, utilitaire du sens de leur travail : des refus directs et indirects, par l’absentéisme, le coulage de cadence, le vol, la grève, etc. Lire la suite…

Sur « Théorie Communiste »

23/05/2010 Aucun commentaire

Au monent ou sort Théorie Communiste 23, et en particulier son éditorial “franchir le pas” (qui sera publié sur dndf au moment de l’arrivée de TC 23 en librairie, arrivée prévus le 9 juin), il nous paraît important de relire cette critique que Daredevil adressait à TC en 2007.

(Publié à l’origine sur le site de l’angle mort , le 9 décembre 2007
Repris sur la nouvelle version du site d’Echanges  et mouvements)

Depuis mes dernières brèves interventions « théoriques », j’ai pas mal lu, je me suis mis à la philo (comme le conseille C.Charrier) et surtout j’ai lu systématiquement « Théorie Communiste » (je peux me laisser aller à adopter leur style). C’est évident, c’est la seule production théorique actuelle qui « tiennent la route » (il faudrait aussi considérer « Temps Critiques » qui a un souci équivalent de « cohérence systématique »). Mais, c’est justement là, dans son « triomphe », que TC fait faillite. Lire la suite…

le stand de Senonevero au Salon du Livre libertaire

10/05/2010 Aucun commentaire

une affiche….

01/05/2010 Aucun commentaire

(cliquez sur la photo)
Production “LA SOCIALE”, Montréal

28 thèses sur la société de classes

01/05/2010 un commentaire

LA SOCIALE , de Montréal, a révisé et publié ce texte déjà paru en feuilleton sur dndf.

Les amies et les amis de la société sans classes
(Freundinnen und Freunde des klassenlosen Gesellechaft)


I. LA MARCHE TRIOMPHALE
DE LA SOCIÉTÉ DE CLASSES SANS CLASSES

1.

Le résultat provisoire de l’histoire du capital dans ses zones avancées est de se présenter comme une société de classes sans classes, dans laquelle le vieux milieu ouvrier a été dissous en une dépendance salariale généralisée : partout des individus prolétarisés, nulle part le prolétariat, ni comme groupe identifiable de gens, et certainement pas comme un acteur collectif, comme le côté négatif, en rupture, de la société. D’occasionnels conflits du travail ne se transforment pas en luttes de classe dans lesquelles le futur de la société est en jeu, puisque le vieux mouvement prolétarien a été absorbé sans laisser de traces dans l’ordre dominant, et qu’un nouveau mouvement n’est pas en vue. Lire la suite…

Dernière publications des éditions Senonevero

28/04/2010 Aucun commentaire

Cliquez   sur   les    images

(Attention, “Ouvriers contre le travail” est encore sous presse. On avertira à sa sortie en librairie….)

“Espace contre ciment”

27/04/2010 Aucun commentaire

Les luttes étudiantes dans la fin du «compromis éducatif » (Edu-deal)

22/04/2010 28 commentaires

Depuis la révolte étudiante massive en France, en 2006, contre le Contrat Première Embauche (CPE), et la « vague anormale »en Italie en 2008, la protestation des étudiants a cru dans presque toutes les régions du monde, suggérant une reprise de l’euphorie de 1968. Elle a atteint un crescendo à l’automne et l’hiver 2009, lorsque les grèves de campus et les occupations se répandent de la Californie à l’Autriche, l’Allemagne, la Croatie, la Suisse et plus tard, au Royaume-Uni. Le site Tinyurl.com/squatted-universities compte 168 universités (principalement en Europe) où des actions ont eu lieu entre le 20 Octobre et la fin de Décembre 2009. Lire la suite…

The glass floor

13/04/2010 Aucun commentaire

Une traduction en anglais du “plancher de verre” de Théorie Communiste (Senonevero)

“Théorie des crises et le problème de la constitution”

08/04/2010 19 commentaires

‘Théorie des crises et le problème de la constitution’ a été écrit par Giacomo Marramao en 1975 pour la revue Telos. Ce texte présente la polémique, au sein du mouvement communiste des conseils dans les années trente, à propos de l’interprétation à donner aux théories des crises du capitalisme en lien avec la constitution d’un mouvement révolutionnaire. A l’heure où la crise systémique déploie ses effets, il nous a paru opportun de traduire ce texte. Il nous semble pouvoir nourrir un débat forcément d’actualité, par ailleurs ouvert (ou poursuivi) par l’entremise de textes de Bruno Astarian ‘La communisation comme sortie de crise’ et ‘C’est au présent qu’il faut parler de communisation‘ de Roland Simon sur Des nouvelles du front.

ICI

Des nouvelles de Montréal

04/04/2010 Aucun commentaire

5 à 7  LA SOCIALE : Lancement de 3 brochures et un poster.
un seul sujet : La révolution !
VENDREDI  9 AVRIL, dès 5 heures au Café Chaos, 2031 St-Denis
3 nouveaux textes seront lancés :

Les  Mokers : texte et historique d’un groupe de chômeurs hollandais radicaux et anarchistes en 1920  mais toujours pertinents…
Le Tout sur le Tout
: un «question-réponse» sur l’actualité et la faisabilité de la révolution…
28 Thèses sur la société de classes
: par un collectif de Berlin qui analyse l’évolution de la lutte de classe, du prolétariat hier et aujourd’hui.
Et un poster théorique ??!!!
Nous invitons tous les camarades, amis-es et autres  à venir prendre un verre dans la meilleure tradition du mouvement…
(ces textes et posters devraient normalement être disponibles au prochain salon
du livre livbertaire à Paris, sur le stand des éditions Senonevero. Note dndf)

C’est au présent qu’il faut parler de la communisation

02/04/2010 3 commentaires

A propos du texte :La communisation comme sortie de crise” de Bruno Astarian (ICI)

« Ce qui doit être est aussi en fait, et ce qui seulement doit être sans être n’a aucune réalité » (Hegel, Phénoménologie de l’Esprit, Ed Aubier, p.211).

Le texte La communisation comme sortie de crise annonce dans ses quelques lignes d’introduction que sera mise de côté comme non essentiel (puisque dans le choix de faire bref, cet élément n’est pas retenu) la critique du programmatisme « déjà faite abondamment ». Quelques références aux textes où on peut trouver cette critique n’auraient pas été superflues dans la mesure où ce n’est certainement pas dans les pages d’Echanges qu’on la trouve. Laisser de côté la question du programmatisme, c’est choisir de ne pas historiciser la question de la révolution comme communisation. Lire la suite…

“Nous ne demandons rien”

26/03/2010 un commentaire

Texte reçu d’un camarade américain

« De Chino à Paris, d’Australie à Athènes, de New York à San Francisco, ce n’est qu’un échantillon mondial de révoltes qui ont progressivement abandonné le désir de « revendiquer quelque chose ». Pour la presse bourgeoise, l’absence de revendications est considérée comme un symptôme d’irrationalité, une certaine folie ou une pathologie qui frappe les déchus du droit de vote. Pour la gauche radicale, l’absence de revendications est perçue comme une immaturité politique, une rage naïve qui ne peut s’évacuer qu’en de brefs éclats. Mais à ceux qui ont partagé de tels actes ensemble, à ceux qui ont vu leurs revendications devenir le moyen de leur propre étouffement, une telle tendance est un bon auspice des choses à venir]…[Comme les conditions de l’exploitation se développent, les luttes contre elle font de même, et par là le sens des luttes elles-mêmes change, exprimées non par les revendications mais par le contenu de l’activité elle-même. C’est cette activité sur laquelle nous nous penchons ci-après. » Lire la suite…

Paul Jorion et la fin du capitalisme

25/03/2010 Aucun commentaire

La crise en Californie

10/03/2010 Aucun commentaire

Nouvelle brochure du réseau Echanges & mouvement. 2 euros (BP 241, 75866 Paris Cedex 18 echanges.mouvement@laposte.net). Nous avions déjà diffusé la brochure en anglais. Le texte traduit de cette brochure est suivi de « Avis de décès: L’industrie automobile en Californie est morte » et de statistiques sur le taux de chômage aux États-Unis. L’abonnement à Échanges (15 € pour 4 numéros) comprend les brochures publiées dans l’année.