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Archives pour la catégorie ‘Du coté de la théorie/Around theory’

Autogestion: la question se pose encore?????

09/01/2010 7 commentaires

Article est en deux parties:
un article d' »Alternative Libertaire » au sujet de la lutte de Philipps à Dreux d’abord.

Ensuite, la reproduction de la deuxième partie de l’analyse parue dans le N° 3 de la revue Négation en 1974, sous le titre « Lip et la contre-révolution autogestionnaire ». Dans ses limites, qui sont celles de la théorie de l’autonégation du prolétariat, cette analyse a le double mérite d’avoir été faite à chaud et de n’être pas trop normative. Ses fondements sont exposés dans « le Prolétariat comme destructeur du travail » reproduit dans l’anthologie Rupture dans la théorie de la révolution – Textes 1965-1975 parue aux éditions Senonevero. Lire la suite…

Les editions SENONEVERO ré-éditent leur best-seller!!!!!

14/11/2009 Aucun commentaire

Devant le succès de leur excellente somme critique sur l’Ultragauche, les éditions Senonevero récidivent!

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Enfin paru!!

03/11/2009 3 commentaires

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Luttes de classes dans la Chine des réformes (1978-2009)
par Bruno Astarian
(Acratie, octobre 2009). 176 pages

Résumé:
Reconstitution de la situation sociale actuelle en Chine, telle qu’elle résulte de trente ans de réformes. Il examine d’abord chaque classe en elle-même, puis la lutte entre le prolétariat (agricole, urbain, migrant) et le capital. A travers ces réformes, le capitalisme d’État chinois a aidé le capitalisme mondial à lutter contre la pénurie de plus-value, conclut l’auteur. Lire la suite…

Invisible Politics – An Introduction to Contemporary Communisation – John Cunningham

17/10/2009 Aucun commentaire

In the wake of the organised left and the demise of working class self-identity, communisation offers a paradoxical means of superseding capitalism in the here and now whilst abandoning orthodox theories of revolution. John Cunningham reports from the picket line of the ‘human strike’

HERE

On a reçu ça …

05/10/2009 7 commentaires

pozadi

Chers camarades,
Nous vous envoyons des salutations sans réserve de la part de notre groupe « Tridni valka » (Guerre de Classe en français ou Class War en anglais, mais nous n’avons rien de commun avec le groupe britannique du même nom). Nous sommes plutôt un tout petit groupe, qui s’est formé récemment, un groupe de militants communistes (anti-léninistes). Vous pouvez visiter notre blog sur http://tridnivalka.tk, la plupart de nos matériaux sont publiés en tchèque, cependant beaucoup sont en anglais, et nous avons aussi essayé de faire un effort pour avoir des traductions en français, même si ce n’est pas une langue que nous pouvons vraiment parler. Lire la suite…

« Questions sans réponses » : dernier éditorial de la revue Echange…

14/09/2009 8 commentaires

En Argentine, en décembre 2001, les mesures drastiques prises pour résoudre la faillite de l’Etat et de tout le système économique déclenchent un double mouvement : la radicalisation d’un mouvement des chômeurs préexistants – les piqueteros – avec des méthodes de lutte radicales et une révolte des classes moyennes touchées par les mesures financières. Les deux mouvements s’unissent dans des manifestations violentes spontanées, notamment dans la capitale, mais leur répression dans le sang les divise à nouveau avec d’un côté des assemblées de quartier et de l’autre les barrages et actions de récupération des piqueteros. Lire la suite…

Théorie(s) des crises: une discussion.

25/08/2009 Aucun commentaire

Dans son texte, RS tente de réconcilier deux explications opposées de la crise.
A mon avis, il n’y parvient pas. Il ne démontre pas la nécessité d’une telle
réconciliation (pour moi la théorie de Mattick reste suffisante – bien que, je
l’admets, je ne l’aie pas relu depuis pas mal de temps). Pour ceux qui posent
que c’est nécessaire, sa proposition ne parvient pas à réconcilier Mattick et
les sous-consommationnistes.
Ce qui suit n’est que des notes de lecture pour la discussion.
B.A., Juin 2009. Lire la suite…

Crise et théories des crises

19/08/2009 un commentaire

Schématiquement, la tradition marxiste s’est séparée en deux grandes tendances : les théorie sous-consommationistes liées ou non aux théories du déséquilibre entre les sections de la production capitaliste dans la reproduction du capital ; les théories du fonctionnement valeur du capital fondée sur la suraccumulation du capital par rapport à sa valorisation, c’est-à-dire sur la baisse tendancielle du taux de profit. D’un côté, toute l’orthodoxie ou la dissidence sociale-démocrate de Bernstein à Rosa Luxembourg en passant par Kautsky et Hilferding1, de l’autre une minorité de francs-tireurs théoriques comme Grossman et Paul Mattick2.
Si cette crise nous oblige à ce retour théorique c’est que nous sommes confrontés à une double évidence contradictoire : d’un côté la seule théorie marxiste cohérente des crises est celle développée par Paul Mattick3, c’est-à-dire celle fondée sur la baisse tendancielle du taux de profit ; de l’autre cette crise est une crise de sous-consommation (elle est et non « apparaît comme »). Notre principale confrontation théorique en tant que confrontation productive ne peut s’engager qu’avec les thèses de la suraccumalation de capital par rapport à ses capacités de valorisation, c’est-à-dire avec Mattick et ses deux principaux ouvrages sur la question : Marx et Keynes (Ed Gallimard, 1972) et Crises et théories des crises (Ed. Champ libre, 1976).
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  1. Boukharine et Lénine refusent les thèses sous-consommationnistes au profit du déséquilibre entre les sections de production et en dernière analyse au profit de la contradiction entre le caractère social de la production et l’appropriation privée.
  2. Il faudrait également ajouter dans cette tendance, l’école dite du Capitalisme Monopoliste d’Etat (CME) enmenée par Paul Boccara.
  3. Lorsque nous ne précisons pas, il s’agit de Paul Mattick (1904-1981) et non de son fils nommé également Paul Mattick (junior, Jr) qui est, également, un théoricien de l’économie marxiste.

Lutte à Ssangyong, suite

19/08/2009 Aucun commentaire

Les grévistes de Ssangyong, qui avaient annoncé leur détermination de se battre « jusqu’à la mort » (sic) ont eu la bonne idée de ne pas mourir au cours de leur lutte — du moins pas directement.

La grève a duré 77 jours et a montré une véritable tactique de guerre de classe, de chaque côté — même si de la part de l’État, il n’y a rien de nouveau. Le niveau de violence n’est pas le facteur essentiel de cet affrontement.

Ils ont tout de même subi une répression féroce des forces de police, qui ont effectué un siège de l’usine, et notamment du « dernier carré » occupé longuement suite à la première intervention d’expulsion. La vidéo qui suit montre le lynchage que les flics exercent au moment de leur intervention.

A la suite un diaporama d’images de la lutte et un récit/analyse de Loren Goldner (en anglais, sera traduit bientot).
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Luttes de classes dans la Chine des réformes (1978-2009)

18/08/2009 Aucun commentaire

à paraître en septembre aux éditions Acratie

astchine

Roland Simon: « Crisis Theory/Theories »

17/08/2009 2 commentaires

Crisis Theory/Theories
Schematically, the Marxist tradition separated into two large tendencies: on the one side, underconsumptionist theories linked or not to theories of disequilibrium between departments of capitalist production in the reproduction of capital; on the other, theories of the value-functioning of capital founded on the overaccumulation of capital vis-à-vis its valorisation, that is to say on the tendency of the rate of profit to fall. On the one side, all the social democratic orthodoxy or dissidence from Bernstein to Rosa Luxemburg passing through Kautsky and Hilferding, on the other, a minority of theoretical snipers like Grossman and Paul Mattick. If this crisis obliges us to return to these theories, it is because we are confronted by two obvious facts which seem to contradict each other: on the one hand the only coherent Marxist theory of crises is the one developed by Paul Mattick, i.e. the one based on the tendency of the rate of profit to fall; on the other hand thiscrisis is a crisis of underconsumption(it israther than “appears as” such). Our principal theoretical confrontation, as productive confrontation, can only engage with the theses of overaccumulation of capital vis-à-vis its capacity to valorise itself, i.e. with Mattick and his two main works on the question: Marx and Keynes: The Limits of the Mixed Economy (1969) and Economic Crisis and Crisis Theory(1974). Lire la suite…

28 thèses sur la société de classes

09/08/2009 Aucun commentaire

Voici la traduction de l’intégralité des « thèses »

I.      La marche triomphale de la société de classes sans classes

1.

Le résultat provisoire de l’histoire du capital dans ses zones avancées est de se présenter comme une société de classes sans classes, dans laquelle le vieux milieu ouvrier a été dissous en une dépendance salariale généralisée : partout des individus prolétarisés, nulle part le prolétariat, ni comme groupe identifiable de gens, et certainement pas comme un acteur collectif, comme le côté négatif, en rupture, de la société. D’occasionnels conflits du travail ne se transforment pas en luttes de classe dans lesquelles le futur de la société est en jeu, puisque le vieux mouvement prolétarien a été absorbé sans laisser de traces dans l’ordre dominant, et qu’un nouveau mouvement n’est pas en vue. Lire la suite…

Ultragauche…

21/06/2009 3 commentaires

Arrivée le 26 juin du dernier ouvrage des éditions SENONEVERO

Toute ressemblance avec des événements grandguignolesques et récemment rebattus serait fortuite.
Ceux qui chercheraient là des informations sur les fers à béton ou le petit commerce en Limousin en seraient pour leurs frais

(15 € dans les librairies participant à l’opération)

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Vous pouvez déjà le commander chez votre libraire.
Distribution: court circuit
Site SENONEVERO

[print_link]

« Ici un territoire se dessine, des critiques de gauche de la social-démocratie à l’Internationale situationniste en passant par la Gauche germano-hollandaise ; la Gauche dite italienne et les multiples groupes et publications qui en sont issus ; Socialisme ou Barbarie et sa descendance ; le communisme libertaire avec Noir et Rouge. Territoire théorique pour une histoire qui ne serait pas générale, mais critique.

La révolution et le communisme, pour l’ultragauche, étaient la libération du travail et l’affirmation du prolétariat, comme classe dominante, mais toutes les médiations rationnelles et pratiques, conduisant à ce but, sont critiquées et supprimées : syndicats, partis de masse, parlementarisme, critique même de l’intervention dans la lutte de classe. Tout y est suspendu à une mystique de l’autonomie (comme contenu de la révolution)/auto-organisation (comme forme) ou du Parti, qui doit être la révélation de l’être véritablement révolutionnaire du prolétariat, faisant exploser son existence de classe. En ce sens, son itinéraire peut être décrit comme trajectoire d’une balle dans le pied.

Une relation incontournable existe entre l’existence du prolétariat, comme classe de ce mode de production, le capitalisme, et cet être révolutionnaire dont l’ultragauche attendait la libération ; relation qu’elle a échoué à comprendre et à théoriser. Pourtant, elle nous a suggéré que la révolution n’était pas l’affirmation de la classe telle qu’elle existe, tout en la comprenant comme l’affirmation d’une nature révolutionnaire propre : c’était là sa dynamique et sa contradiction, et par là, elle nous a amenés jusqu’au point où nous pouvons la quitter. »

Lordstown 1972 ou les déboires de la General Motors

28/05/2009 Aucun commentaire

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« Lordstown 1972 » fut publié en supplément au journal Quatre millions de jeunes travailleurs, en 1973. Il s’agissait autant, en partant des grèves et troubles ayant touché l’énorme usine General Motors de Lordstown (Ohio, USA), de faire l’éloge de la destruction de l’outil de travail que de souligner le lien entre l’activité de révolte ouvrière et une activité post-salariale et communiste, en refusant les médiations classiques de « la conscience », du « parti », du passage de l’économique au politique. Lire la suite…

Réunion à Paris le 4 juin

13/05/2009 Aucun commentaire

« L e s   é m e u t e s   e n   G r è c e »
Avec des camarades ayant participé au mouvement
Voir dans l’article

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Cliquer sur l’affiche

28 thèses sur la société de classes : 16-19

20/04/2009 Aucun commentaire

Blaumachen

14/04/2009 Aucun commentaire

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Lien vers le site des camarades  de « BLAUMACHEN ».
Ce groupe a fournit beaucoup des informations qui ont constitué
« les émeutes en grèce », qui vient d’être publié par les éditions SENONEVERO.
Trois de leurs membres ont animé la réunion publique à Marseille, dimanche 12 avril

http://www.blaumachen.gr/blaumachen/en_index.php

« Bref aperçu sur de vives flammes algériennes »

14/04/2009 Aucun commentaire

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Un article que nous avons déjà publié mais qui a étét remanié par ses auteurs et qui reprend aujourd’hui son actualité

http://infokiosques.net/imprimersans2.php?id_article=664

28 thèses sur la société de classes : 13-15

12/04/2009 Aucun commentaire

Réunion à Marseille sur les émeutes en Grèce

10/04/2009 Aucun commentaire

Faites circuler l’info!

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Pour les détails, cliquez sur l’affiche

28 thèses sur la société de classes : 9-12

23/03/2009 2 commentaires

Dal rifiuto del lavoro alla comunizzazione. «Troploin» e «Théorie Communiste».

22/03/2009 Aucun commentaire

Bring out your dead!(1)

[Prefazione a «Endnotes» n.1 – Materiali preliminari per un bilancio del XX secolo. Trad. it. a cura di Faber]

«La tradizione di tutte le generazioni scomparse pesa come un incubo sul cervello dei viventi[…]La rivoluzione sociale del secolo decimonono non può trarre la propria poesia dal passato, ma solo dall’avvenire. Non può cominciare a essere se stessa prima di aver liquidato ogni fede superstiziosa nel passato. Le precedenti rivoluzioni avevano bisogno di reminiscenze storiche per farsi delle illusioni sul proprio contenuto. Per prendere coscienza del proprio contenuto, la rivoluzione del  secolo decimonono deve lasciare che i morti seppelliscano i loro morti. Prima la frase sopraffaceva il contenuto; ora il contenuto trionfa sulla frase. »(2) Lire la suite…

28 thèses sur la société de classes : 5-8

22/03/2009 un commentaire

28 thèses sur la société de classes : 1-4

20/03/2009 13 commentaires

Traduction par nos soins de 28 Theses on Class Society, depuis le texte allemand des Amis de la société sans classes Lire la suite…

Livre : Les émeutes en Grèce

19/03/2009 Aucun commentaire

Les émeutes en Grèce, et leur écho mondial, sont le signe que la crise mondiale du capital, qui s’est d’abord présentée comme crise financière, est effectivement une crise du rapport d’exploitation, une crise de l’implication réciproque entre les deux classes de ce mode de production. Crise de la reproduction du face-à-face entre la force de travail et le capital, qui, pour le meilleur et pour les limites des émeutes en Grèce, est apparue comme une affaire de discipline.

Alors que toutes les mesures, contre-mesures, plans, en termes stratégiques, les offensives du capital emplissaient l’horizon, les volutes de fumée des cocktails Molotov, à Athènes, Patras, Thessalonique, Malmö, les bruits de verre brisé, à Gand, Paris, Londres, les pierres lancées sur les flics, partout, sont venus faire écran entre l’horizon indépassable du capitalisme et le présent terrifiant de sa crise. Trois mois après l’effondrement des bourses mondiales, trois ans après les émeutes des banlieues françaises, les feux grégeois des jeunes prolétaires du monde entier nous rappellent que la guerre de classe a bien lieu.

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Communisation

16/03/2009 Aucun commentaire

« Un buen moton de matanza…. »

04/03/2009 Aucun commentaire

« No habrà paz ninguna. En todo momento durante toda nuestra vida, habrà muchîsimos conflictos con formas mutantes por todas partes del mundo. El conflicto violento harà las planas de los periôdicos, pero las luchas culturales y econômicas seràn las màs constantes y en definitiva las decisivas. El papel de facto de las fuerzas armadas estadounidenses serà mantener el mundo como un lugar seguro para nuestra economîa y un espacio abierto a nuestro dinamismo cultural. Para conseguirlo estamos dispuestos a perpetrar un buen montôn de matanzas. [a fair amount of killing] » Comandante Ralph Peters in « CONSTANT CONFLICTS », verano 1997. Lire la suite…

Comme un hiver d’un millier de décembre….

01/03/2009 Aucun commentaire

La VIOLENCE c’est travailler 40 ans, pour des salaires misérables, et s’estimer heureux de pouvoir prendre sa retraite,

La VIOLENCE ce sont les obligations d’Etat, les fonds de pension volés, et la fraude des marchés boursiers,

La VIOLENCE c’est d’être forcé d’emprunter pour te loger et de rembourser à prix d’or,

La VIOLENCE c’est le droit de la direction de te licencier quand elle veut,

La VIOLENCE c’est le chômage, le temps partiel, 400 euros de salaire avec ou sans sécurité sociale,

La VIOLENCE ce sont les accidents du travail ; vu que les patrons diminuent les « coûts de sécurité » du travail,

La VIOLENCE c’est de se rendre malade de travailler si dur,

La VIOLENCE c’est consommer des psychotropes et des vitamines afin d’affronter des heures de travail épuisantes,

La VIOLENCE c’est travailler pour de l’argent afin d’acheter les médicaments nécessaires pour maintenir ta capacité de travail,

La VIOLENCE c’est mourir sur des lits prêts à l’emploi dans des hôpitaux horribles, quand tu ne peux pas payer de pot-de-vin.

Prolétaires du local occupé de la Confédération Syndicale Grecque (GSEE), Athènes, décembre 2008 Lire la suite…

Théorie Communiste N° 22 est sorti!

25/02/2009 Aucun commentaire

image15– Communiqué « Guadeloupe »
-Ou  trouver TC 22?
– L’éditorial

Dans l’article ci-dessous……


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Como un invierno con mil diciembres

17/02/2009 Aucun commentaire

(version en espagnol de « Like a winter with a thousand Decembers… ». La version française bientôt

Reflexiones sobre los recientes disturbios en Grecia; “Todos los elementos insurrectos están discutiendo el surgimiento de nuevas formas de organización y contenidos de lucha”…

“VIOLENCIA es trabajar 40 años recibiendo salarios de miseria y preguntándote cuándo llegará la jubilación…
VIOLENCIA son los bonos del Estado, los fondos de pensiones robados y el fraude del mercado de valores…
VIOLENCI es verte obligado a pedir hipotecas que más tarde habrá que devolver como si se tratase de oro…
VIOLENCIA es el derecho de los directivos de despedirte cuando quieran…
VIOLENCIA es el paro, el empleo temporal, los salarios de 400 euros o sin seguridad social…
VIOLENCIA son los “accidentes” laborales, ocasionados por el ahorro de los empresarios en costes de seguridad…
VIOLENCIA es enfermar por el duro trabajo…
VIOLENCIA es el consumo de psicofármacos y vitaminas para poder con las exhaustivas jornadas laborales…
VIOLENCIA es trabajar para ganar dinero a fin de poder comprar medicinas que arreglen nuestra mercancía “fuerza de trabajo”…
VIOLENCIA es morir en camas preparadas en hospitales horribles, cuando no puedes permitirte un soborno.”
Proletarios de la GSEE ocupada, Atenas, diciembre de 2008 Lire la suite…