Dramatic decline in Turkish wages
Figures recently released by the Turkish Statistical Institute (TUIK) reveal that in the first quarter of 2009, as Turkey was being hit hard by the global financial crisis, not only real wages but also nominal wages in industry decreased substantially.
According to a June 19 TUIK press release, the quarterly issued “Industrial Labour Input Indicators” show that “the gross wages-salaries index [in other words, nominal wages] in industry decreased by 4 percent over the same quarter of the previous year.” Lire la suite…
La droite radicale américaine se fait peur à peu de frais…..
Maisons-cages à louer à Hongkong
‘anniversaire de la rétrocession de Hongkong à la Chine, le 1er juillet 1997, est devenu l’occasion officielle, depuis 2003, de manifester son mécontentement au gouvernement de la région administrative spéciale de Hongkong. Ce jour-là, Paul Pak, la cinquantaine, quitte la “cage” dans laquelle il vit à Tsim Sha Tsui et rejoint la marche qui traverse le centre de Hongkong, sous la bannière de l’ONG Soco, qui se bat inlassablement pour la cause des pauvres, des nouveaux migrants, des mal-logés. “Trop chaud, pas d’air conditionné, trop sale et trop cher. Beaucoup de puces et d’insectes qui vous mordent”, résume-t-il à propos de son logement où, ajoute un autre : “Donald Tsang (le chef de l’exécutif hongkongais) ne tiendrait pas cinq minutes.” Lire la suite…
A Villiers-le-Bel, en novembre 2007, “c’était la guerre”
es mots ne sont pas sortis. Des regrets, parfois. Quelques excuses prononcées à voix basse. Mais pas d’explications. Des longs silences. Comme une incapacité à communiquer. Rien, ou si peu, sur le pourquoi de la violence. Presque rien, non plus – pour ceux qui nient les faits – pour tenter de se défendre. Les dix hommes, âgés de 21 à 25 ans, jugés jeudi 2 et vendredi 3 juillet par le tribunal correctionnel de Pontoise (Val-d’Oise) pour des jets de projectiles contre des policiers à Villiers-le-Bel, en novembre 2007, n’ont pas su mettre de mots sur les émeutes et la “rage” qui les ont saisis lorsqu’ils ont appris le décès de deux adolescents dans une collision avec une voiture de police. Lire la suite…
Une quarantaine de personnes dévalisent un rayon d’hypermarché
Le vol, qui a eu lieu à Etampes, est estimé à 9.000 euros. L’incident pourrait être lié à l’interpellation la veille de 6 employés du magasin, soupçonnés d’avoir laissé passer sans payer des complices avec des chariots de courses
Un hyper-marché d’Etampes (Essonne) a été envahi mercredi soir par une quarantaine de personnes, visage masqué qui ont fait main basse sur du matériel électronique avant de prendre la fuite, a-t-on appris jeudi 2 juillet de source proche de l’enquête. Certains voleurs se sont repliés dans le quartier de Guinette, réputé sensible, et ont abandonné leurs prises. D’autres ont conservé leur butin. Le préjudice est estimé à 9.000 euros.
Interpellation
Dans le quartier, les policiers venus récupérer les marchandises volées ont été visés par des jets de projectiles.
Cet incident pourrait être lié à l’interpellation, la veille, de six employés du magasin. Ils étaient soupçonnés d’avoir laissé passer sans payer des complices avec des chariots de courses remplis.
(Nouvelobs.com)
50,000 travailleurs dans les rues et 50 usines brûlées au Bangladesh
L’agitation massive dans l’industrie du vêtement continue (lundi 29 juillet), pour le troisième jour…
À la périphérie de Dhaka, la capitale, dans la zone industrielle :
Les émeutes ouvrières et manifestations se sont intensifiées hier. Comme des milliers d’ouvriers se réunissaient le matin, à 10h un groupe se dirigeait vers la zone d’exportation proche de Dhaka, où beaucoup d’usines de vêtement sont localisées. La Police a bloqué leur progression et une bagarre féroce a commencé – dans la bataille rangée, gaz lacrymogènes et balles en caoutchouc ont laissés 100 ouvriers blessés. Lire la suite…
La californie ébranlée par la crise
Gaza : polémique autour d’un rapport accablant d’Amnesty
L’ONG publie un rapport sur l’offensive israélienne à Gaza menée en décembre-janvier, accusant Israël et le Hamas de “crimes de guerre”. Mais Tsahal dénonce un rapport “déséquilibré”, “manipulé” par le Hamas.
L’armée israélienne a dénoncé jeudi 2 juillet le rapport d’Amnesty International qui l’accuse de “crimes de guerre” lors de son offensive à Gaza en décembre-janvier, affirmant que cette organisation s’était laissée manipuler par le mouvement palestinien Hamas.
“Le ton général du rapport démontre que l’organisation a succombé aux manipulations du Hamas, une organisation terroriste”, a affirmé le porte-parole de l’armée dans un communiqué. Lire la suite…
La flexibilité plus le chômage
‘une des caractéristiques frappantes de la crise actuelle est la synchronisation des réactions des entreprises. D’un bout de la planète à l’autre, celles-ci réagissent en même temps aux mêmes informations, et leurs anticipations sont parfaitement parallèles.
Sauf sur un point: l’emploi. Depuis un an, le taux de chômage a augmenté de 8 points en Espagne et de 6 points en Irlande, mais il n’a pratiquement pas bougé en Allemagne et aux Pays-Bas, et il ne s’est encore accru que d’un point et demi en France. Pour partie, ces écarts reflètent bien sûr l’inégale sévérité de la récession: même si les évolutions sont synchrones, l’ampleur du retournement varie d’un pays à l’autre. Lire la suite…
“DNDF” peut-il continuer ?
Ce blog est apparu le 24 octobre 2008.
Le pari non dit qui a présidé à sa création est qu’il pouvait y avoir place pour un support qui propose une espèce de « veille » internet de ce qui se publie dans le monde autour de la lutte des classes, à partir d’un encrage théorique clair et revendiqué (voir « du coté de la théorie ») et qui tranche avec les sites amis qui sont plus des sites d’archives que des sites d’actualité (Meeting, Senonevero, “L’angle mort”, “Théorie Communiste”). Nous voulions également éviter d’être grandiloquents, pompeux, péremptoires, déclamatoires, tonitruants, vociférants…. d’appeler à l’insurrection ou de multiplier les images de pneus qui brulent ou de lanceurs de cocktails Molotov (pas facile à éviter, d’ailleurs). Lire la suite…
La police mise en cause pour ses contrôles au faciès
a police française pratique à grande échelle des “contrôles au faciès”. Une étude scientifique, conduite dans la plus grande confidentialité, montre que les forces de l’ordre effectuent des contrôles d’identité discriminatoires vis-à-vis des Arabes et des Noirs : pour les premiers, la probabilité d’être contrôlé est globalement 7,8 fois plus élevée que pour les Blancs; pour les seconds, elle est six fois plus importante. Ces résultats, publiés mardi 30 juin, ont été obtenus par l’observation du travail policier à Paris (gare du Nord et Châtelet-les Halles) entre octobre 2007 et mai 2008. Lire la suite…
L’Assemblée instaure un délit de participation à une bande
Chrisitan Estrosi, nouveau secrétaire d’Etat à l’Industrie, est à l’origine du projet de loi sur la violence à l’école.
Les députés ont voté la proposition de Christian Estrosi, qui punit de trois ans de prison la participation à un groupement organisé visant à commettre des violences. Un texte «inutile» pour le PS.
C’est fait. Les députés ont adopté dans la nuit de lundi à mardi la proposition de Christian Estrosi et instauré un délit d’appartenance à une bande violente. Ce texte fait partie de la loi élaborée par le nouveau ministre de l’Industrie contre les violences en groupe et à l’école. Lire la suite…
IRAN: Le début de la fin
Une analyse de Yassamine Mather, une des responsable de la campagne “Hands Off People of Iran” (Bas les pattes du peuple d’Iran) publiée le 25 juin sur le site d’HOPI :
Le discours de l’ayatollah Khameini du 19 juin a rappelé à beaucoup d’iraniens certaines des expressions du Shah lors des derniers mois de son règne : l’ancien président et actuel secrétaire de “l’assemblée des experts” ne peut pas être corrompu, il a été l’ami du leader suprême pendant 50 ans ! Tout le monde en Iran a accepté le résultat des élections : ce fut de la faute des puissances étrangères et des médias étrangers que certaines personnes en ont douté ! Il y a des conspirations tout autour de nous, et comme à l’époque coloniale, les britanniques sont derrière elles. Lire la suite…
Un regard anarchiste sur les mouvements de protestation en Iran
L’interview suivante a été réalisée par ALB-Noticias, avec le soutien de José Antonio Gutierrez (collaborateur de Anarkismo.net). Payman Piedar, est un militant anarchiste exilé iranien qui a participé à de nombreuses initiatives libertaires aux États-Unis et au Pérou. Il a été rédacteur en chef de la revue anarchiste Nakhdar, publiée en anglais et en farsi. Dans cette interview, nous avons essayé d’élucider, au milieu des distorsions des médias occidentaux et de la censure des médias iraniens, les clés pour comprendre ce qui se passe réellement ces jours-ci en Iran. Si nous ne sommes pas devant un soulèvement révolutionnaire, on sait que dans la chaleur de l’agitation sociale se développent des possibilités de subversion populaire Lire la suite…
La policía retiene a cinco huelguistas del metal en un nuevo día de paros
Obreros del metal vigués intentaron ayer bloquear los accesos a la fábrica de Citroën en Vigo para impedir la entrada de los trabajadores de la factoría, dentro de la jornada de huelga general convocada en solitario por el sindicato gallego CIG. Lire la suite…
En provenance de nos camarades au Québec…..
La Forme D’abord !
Trouvé sur le site Non FIDES
Depuis quelques mois, des publications et des sites labellisés révolutionnaires font, sans trop se poser de questions, quasiment l’apologie des formes d’action qui sont apparues dans les entreprises privées et publiques, telles que les séquestrations de managers. Comme si, par leur seule existence, elles fournissaient la preuve de la radicalité de leur contenu. Il y aurait là quelque vide créé par la désyndicalisation et l’acceptation accrue, par les grandes centrales syndicales, des règles du jeu de l’économie mondiale. De jeunes et moins jeunes fossoyeurs du monde s’emploieraient donc à le combler à leur façon. Sauf qu’il n’y a pas de vide, mais la poursuite de la domination du capital par d’autres moyens, assez différents des modes de régulation des tensions auxquelles nous avaient habitués des décennies d’Etat providence. Et les fossoyeurs présumés ne dépassent pas aujourd’hui, en règle générale, l’horizon du syndicalisme, même lorsqu’ils emploient des moyens peu orthodoxes. Nous allons le voir à travers l’exemple emblématique des luttes dans le secteur de l’énergie. Sans généraliser outre mesure, vu que les différences de situations, de motifs, d’objectifs, de moyens, de dispositifs de contrôle, etc., n’en font pas le modèle universel à plaquer tel quel sur toutes les luttes en cours. De celles qui démarrent dans des sociétés en faillite, comme Continental, en passant par celles qui perdurent dans l’Education, jusqu’aux émeutes en banlieue et dans les centres de rétention. Lire la suite…
« Aux armes ! » – Le mouvement lycéen en guerre contre l’État Grenoble – Printemps 2008
Grenoble a vécu lors du printemps 2008 un mouvement lycéen d’une intensité qui se situe dans la continuité des mouvements de révolte de ces dernières années (…).
Le titre de cette brochure fait écho au slogan principal de ce mouvement, celui qui était repris lors de chaque manif, connu de tous les lycées, avec une variante selon les moments :
Aux armes ! Nous sommes les lycéens en guerre contre Darcos / Sarko / l’État
Ce slogan résume à lui seul l’état d’esprit de ce mouvement : une révolte présente bien au-delà des projets de réforme du ministre de l’éducation nationale, une révolte qui a pu prendre corps collectivement, s’exprimant sur les lycées (notamment lors des blocages) et surtout dans la rue, agrégeant des tas d’autres personnes, ex-lycéennes ou déscolarisées, de tous âges (même si ce mouvement est resté « jeune » dans sa grande majorité). Lire la suite…
Les dirigeants de l’entreprise Raguet ont été libérés
Pour protester contre un plan de 73 licenciements, les salariés retenaient dans l’usine de Monthermé trois cadres de l’entreprise spécialisée dans l’usinage de pièces ferroviaires, d’attelage et de poids lourds.
Devant l’usine Raguet (AFP)
Les trois chefs de l’entreprise Raguet, séquestrés lundi soir dans l’usine à Monthermé (Ardennes) par des salariés ont été libérés, a-t-on appris mardi 23 juin auprès de la préfecture et des syndicats. Les employés dénonçaient un plan de 73 licenciements. Lire la suite…
Le travail tue (évidemment)
Un avocat japonais a dénoncé le sort réservé à des apprentis de pays asiatiques venus se former au Japon, évoquant des cas de “travail forcé” ayant conduit à la mort de seize personnes en un an.
“Avec la récession économique, des entreprises embauchent de plus en plus d’apprentis pour bénéficier d’une main-d’œuvre bon marché”, a expliqué à l’AFP Shoichi Ibusuki, un défenseur de ces travailleurs étrangers. En vertu d’un programme japonais d’aide aux économies émergentes asiatiques, des entreprises nippones du BTP, de l’agroalimentaire ou de l’industrie textile peuvent faire venir des apprentis dans l’Archipel, pour une durée déterminée et à un salaire moins élevé que les salariés habituels.
Mais seize de ces travailleurs sont morts d’accidents cardiaques ou cérébraux entre avril 2008 et mars 2009, “un taux anormal” laissant penser qu’ils ont été surmenés, selon Me Ibusuki, qui a appelé les autorités à ouvrir une enquête. “J’ai vu de nombreux cas d’employés forcés de travailler près de 200 heures supplémentaires par mois”, a dénoncé l’avocat. Cinq autres apprentis sont morts dans des accidents du travail au cours de la même période, selon l’Organisation internationale de coopération pour l’apprentissage au Japon.
Quelque 177 000 étrangers, notamment chinois, indonésiens et philippins, travaillent comme apprentis au Japon dans le cadre de ce programme, selon les dernières statistiques. Le problème du surmenage concerne de larges pans de la main-d’œuvre au Japon, bien au-delà des seuls immigrés. En 2007, quelque 10 000 salariés ont été victimes d’un accident cardiaque ou cérébral, parfois mortel, à cause de leur travail, selon un avocat des familles de victimes.
Iran: la police en fuite (BBC)
Sur Internet, la vidéo stupéfiante de la défaite des policiers chinois…
Voici une vidéo qui fera peur aux dirigeants chinois : des centaines de policiers casqués qui reculent devant une foule en colère, s’enfuyant en débandade sous les jets de pierres des protestataires. La scène s’est déroulée samedi à Shishou, dans la province centrale du Hubei. La vidéo, sans doute tournée avec un téléphone portable, a été déposée sur YouTube au cours du week-end, et les images ont fait le tour du monde via les réseaux sociaux ou Twitter.
La colère de la population est liée à la découverte, trois jours plus tôt, d’un cadavre devant un hôtel de la ville, celui du chef du restaurant de l’établissement. La police a conclu à un suicide, mais la famille a cru voir des traces de blessures à la tête. Très vite, des rumeurs ont commencé à circuler, selon lesquelles la police locale et la municipalité seraient actionnaires de cet hôtel… Lire la suite…
Ultragauche…
Arrivée le 26 juin du dernier ouvrage des éditions SENONEVERO
Toute ressemblance avec des événements grandguignolesques et récemment rebattus serait fortuite.
Ceux qui chercheraient là des informations sur les fers à béton ou le petit commerce en Limousin en seraient pour leurs frais
(15 € dans les librairies participant à l’opération)
Vous pouvez déjà le commander chez votre libraire.
Distribution: court circuit
Site SENONEVERO
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“Ici un territoire se dessine, des critiques de gauche de la social-démocratie à l’Internationale situationniste en passant par la Gauche germano-hollandaise ; la Gauche dite italienne et les multiples groupes et publications qui en sont issus ; Socialisme ou Barbarie et sa descendance ; le communisme libertaire avec Noir et Rouge. Territoire théorique pour une histoire qui ne serait pas générale, mais critique.
La révolution et le communisme, pour l’ultragauche, étaient la libération du travail et l’affirmation du prolétariat, comme classe dominante, mais toutes les médiations rationnelles et pratiques, conduisant à ce but, sont critiquées et supprimées : syndicats, partis de masse, parlementarisme, critique même de l’intervention dans la lutte de classe. Tout y est suspendu à une mystique de l’autonomie (comme contenu de la révolution)/auto-organisation (comme forme) ou du Parti, qui doit être la révélation de l’être véritablement révolutionnaire du prolétariat, faisant exploser son existence de classe. En ce sens, son itinéraire peut être décrit comme trajectoire d’une balle dans le pied.
Une relation incontournable existe entre l’existence du prolétariat, comme classe de ce mode de production, le capitalisme, et cet être révolutionnaire dont l’ultragauche attendait la libération ; relation qu’elle a échoué à comprendre et à théoriser. Pourtant, elle nous a suggéré que la révolution n’était pas l’affirmation de la classe telle qu’elle existe, tout en la comprenant comme l’affirmation d’une nature révolutionnaire propre : c’était là sa dynamique et sa contradiction, et par là, elle nous a amenés jusqu’au point où nous pouvons la quitter.”
A Marseille, les militants s’interrogent sur la stratégie de leur syndicat
omment continuer la mobilisation ? Manifester, à quoi ça sert ? Nombre de militants se posent ces questions à la veille de la sixième journée d’action à l’appel des huit syndicats (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA), samedi 13 juin.
A Marseille, la trublione qui aime rivaliser avec Paris avec les chiffres de manifestants annoncés sur la Canebière, beaucoup pestent contre la succession de journées d’action : six en six mois. Dans tous les syndicats, on reconnaît avoir du mal à mobiliser. Beaucoup rêvent de mouvements ” victorieux “ mais avouent ne pas savoir comment faire. Certains ont fait la “grève de la grève”, le 26 mai, à l’occasion de la dernière journée d’action. Lire la suite…
Pour avoir hébergé un Afghan de 16 ans, elle risque cinq ans de prison
laudine Louis a 58 ans et habite Saint-Girons, dans l’Ariège. Elle risque cinq ans d’emprisonnement, assortis de 30 000 euros d’amende, pour un acte de générosité un peu fou. Pendant trois mois, elle a hébergé un jeune Afghan de 16 ans qu’elle avait recueilli au square Villemin, à Paris, le lieu où tous les soirs des migrants en route vers l’Angleterre se retrouvent pour passer la nuit. Lire la suite…
Grande-Bretagne : Total licencie près de 900 personnes d’une de ses raffineries pour grève
rès de 900 employés de la raffinerie britannique de Lindsey, propriété du groupe pétrolier français Total, ont été licenciés, une semaine après avoir débuté une grève sauvage, a-t-on appris vendredi auprès d’un syndicat de l’entreprise et de Total.
Mille deux cents employés environ de la raffinerie de Lindsey, dans l’est de l’Angleterre, avaient entamé une grève sauvage le 11 juin pour soutenir 51 de leurs collègues licenciés. Ils estimaient qu’un accord de non-suppression d’emplois avait été violé par la direction, selon des médias, une version des faits réfutée par le groupe pétrolier. Lire la suite…
Le salaire, c’est has-been
British Airways, qui a fait état le mois dernier d’une perte annuelle record, a annoncé mardi avoir demandé à ses salariés de travailler gratuitement. La compagnie aérienne bataille pour sa “survie” dans des conditions de marché difficiles. Cet appel aux employés de la compagnie en Grande-Bretagne leur demande de se porter volontaires pour une période allant d’une semaine à un mois de congé sans solde ou de travail non payé.
Le directeur général de British Airways, Willie Walsh, qui a promis aux côtés du directeur financier, Keith Williams, de travailler gratuitement en juillet, a précisé que ce projet s’inscrivait dans le vaste programme de réductions de coûts de la compagnie aérienne britannique. “Nombre d’entre vous entendent aider la société”, a déclaré M. Walsh. “J’espère que chaque entité de la compagnie contribuera d’une certaine manière à ce moyen efficace financièrement pour aider au plan de survie de la société. Cela compte vraiment”, a-t-il ajouté.
British Airways, troisième compagnie aérienne européenne par le chiffre d’affaires, a publié une perte opérationnelle annuelle de 220 millions de livres sterling (260 millions d’euros) et renoncé en mai à verser un dividende, souffrant du retournement du marché aérien mondial, dont elle ne prévoit pas de redressement dans l’immédiat.
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